Balder Ex-Libris - Roques HenriReview of books rare and missing2024-03-27T00:16:02+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearRoques Henri - Reynouard Vincent - Sur Amen de Costa-Gavrasurn:md5:0222989b5564db8d65506499a94396502016-02-20T05:57:00+00:002016-02-20T06:05:01+00:00balderRoques HenriConspirationEddaEuropeHébraïsmeMythologyNorwayPropagandeRévisionnismeScandinaviaSweden <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Roques_Henri_-_Reynouard_Vincent_-_Sur_Amen_de_Costa-Gavras.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Roques Henri - Reynouard Vincent</strong><br />
Ouvrage : <strong>Sur Amen de Costa-Gavras Acquittement pour Pie XII !</strong><br />
Année : 2003<br />
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Pie XII est-il resté silencieux alors qu'il aurait su que les juifs étaient systématiquement exterminés ? Oui, répondent ceux qui, hier comme aujourd'hui, veulent diffamer ce Pape et, à travers lui, toute l'Église catholique. <strong>...</strong></p>Roques Henri - Les Confessions de Kurt Gersteinurn:md5:d332401b1026e52a36978ad094399d6f2013-06-23T19:47:00+01:002013-06-23T19:06:05+01:00balderRoques HenriAllemagneHébraïsmeRévisionnisme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Roques_Henri_-_Les_Confessions_de_Kurt_Gerstein_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Roques Henri</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les Confessions de Kurt Gerstein Etudes comparative des différentes versions</strong><br />
Année : 1985<br />
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Elle a défrayé la chronique. Les vigilants, à qui rien n'échappe, se sont rendu compte, mais trop tard, qu'un certain Henri Roques, un agronome en retraite, avait soutenu une thèse d'université à Nantes sur le fameux document Gerstein. Roques avait vu tous les documents écrits par Gerstein, un SS qui avait dit qu'on avait gazé 25 millions de juifs pendant la guerre. Il avait fait des "confessions" devant des officiers français et s'était suicidé en prison à Paris en 1945, là où s'élève aujourd'hui la Maison des Sciences de l'Homme, boulevard Raspail. La confrontation des divers documents Gerstein était bien la dernière chose que souhaitaient les Poliakov, qui n'avait pas hésité à changer le texte quand ça lui convenait, et autres Vidal-Naquet qui cherchaient à se servir de Gerstein, tout en laissant dans l'ombre les aspects les plus ahurissants d'un supposé témoin dont la santé mentale ne semblait pas très assurée. En utilisant toutes les ressources d'une administration aux ordres, le ministricule de la Recherche, un certain Alain Devaquet, fit cet acte inconnu des annales universitaires : il fit annuler la thèse de Nantes. Annonçant cette triomphale victoire dans des locaux du ministère de la Recherche, il fit expulser manu militari le chercheur Serge Thion, qui entendait protester contre cet arbitraire bouffon. Togae cedant armibus. C'est le public qui a été fait juge de cette affaire quand la thèse a été publiée sous forme de livre. Ce livre est maintenant accessible aux lecteurs du Village global. Devaquet est conseiller de Chirac. Le tribunal administratif, au début de 1998, a finalement confirmé l'annulation de la thèse pour vice de forme. (Voir différents articles dans la Revue d'Histoire révisionniste). Pour le moment, et pour des raisons techniques, nous ne sommes pas en mesure de présenter les fac-similés de tous les documents de cette affaire, que Roques avait fournis à l'appui de sa thèse et qui se trouvent dans l'édition sur papier du livre de Chelain. L'Aaargh. <strong>...</strong></p>Roques Henri - Revue d'Histoire Révisionniste (1990-1992)urn:md5:d7470218e0e78fd65a4c7b5e9af54a4f2012-07-31T14:49:00+01:002014-05-07T20:44:22+01:00balderRoques HenriAllemagneAuschwitzEuropeFranceHébraïsmeItalieRévisionnismeSeconde guerre mondialeTreblinkaTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Roques_Henri_-_Revue_d_Histoire_Revisionniste_1990-1992_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Roques Henri</strong><br />
Ouvrage : <strong>Revue d'Histoire Révisionniste (1990-1992)</strong><br />
Année : 1992<br />
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La première livraison de la Revue d'Histoire Révisionniste paraît dans des circonstances historiques exceptionnelles. Le «Mur de Berlin» s'est écroulé, «Yalta» est remis en cause, l'Union soviétique admet que «Katyn» n'est pas un crime allemand, comme feignaient de le croire les juges de Nuremberg, mais un crime soviétique. Moscou commence à ouvrir ses archives et ses charniers. Depuis 1945, Moscou, avec l'approbation tacite des Alliés, dissimulait les «registres mortuaires» d'Auschwitz. Les révisionnistes et, en particulier, Robert Faurisson et Ernst Zündel, dénonçaient publiquement en 1988 cette rétention de documents. En 1989, Gorbatchev a bien voulu accorder le droit au Comité International de la Croix-Rouge de consulter enfin ces registres. D'après les indices jusqu'ici recueillis, il ne fait pas de doute que le véritable chiffre des morts d'Auschwitz sera considérablement inférieur à celui de 8 millions, comme l'affirmait un document officiel de la République française ; à celui de 4 millions, comme l'indique le monument de Birkenau ; à celui de 3 millions, comme le confessait «le commandant d'Auschwitz» ; à ceux de 1 600 000, de 1 250 000 ou de 800 000 comme le prétendent certains auteurs tels que Yehuda Bauer, Raul Hilberg ou Gerald Reitlinger. Ce chiffre dépassera-t-il de beaucoup celui de 74 000 qui, d'après ce qu'en dit la presse, représenterait le total des morts enregistrées ? Les vérités du procès de Nuremberg et, à l'autre bout du monde, du procès de Tokyo, sont aujourd'hui revues et corrigées. Jamais peut-être, depuis l'époque de la Renaissance, n'a-t-on à ce point revu, corrigé, rectifié un pareil ensemble de vérités historiques reçues ou imposées. Le dogme du communisme s'effondre. Le dogme de l'Holocauste est en péril. Tandis qu'à l'Est on change, à l'Ouest on a plutôt tendance à préserver les acquis. Trop d'interdits y pèsent encore sur la recherche historique. On y songe à voter des lois spécifiques contre le révisionnisme, c'est-à-dire contre le droit au doute et à la recherche. Trop de fonds d'archives restent fermés aux chercheurs, en particulier le fonds, extraordinairement riche, du Service International de Recherches situé à Arolsen (Allemagne) et qui relève du Comité International de la Croix-Rouge, sis à Genève ; en 1978, devant la montée du révisionnisme, les Alliés, l'État d'Israël et quelques autres pays ont institué un redoutable barrage pour soustraire ces archives à la curiosité des historiens et l'on est allé jusqu'à dissoudre la «Section historique» de cet organisme. Il faudra rouvrir cette «Section historique». Un organisme international qui se prétend neutre doit recouvrer sa neutralité. Parmi les archives à ouvrir, citons pêle-mêle celles qui touchent à des sujets aussi divers que : la réalité du camp de Treblinka, l'histoire des relations constantes, pendant la guerre, des autorités du III e Reich avec des organismes juifs européens, américains ou palestiniens en vue de l'émigration des juifs hors d'Europe (Europa Plan , etc.) ; la nature exacte des efforts déployés par Churchill et Roosevelt pour entraîner les États-Unis dans une guerre contre le Japon et l'Allemagne ; le nombre véritable des déportés résistants et des déportés politiques, raciaux et non raciaux ; l'affaire Rudolf Hess ; l'Épuration ; la livraison par les Alliés de civils et de militaires russes, après la guerre, à la police militaire soviétique ; la déportation des Allemands de l'Est européen ; le traitement des vaincus par les vainqueurs ; la conduite des procès pour «crimes de guerre», etc. Le monde arabo-musulman et certains pays du Tiers Monde, accédant à plus d'indépendance et de dignité, refuseront de cautionner une sorte d'histoire officielle artificiellement bâtie par ceux qui, jusqu'ici, détenaient presque exclusivement richesses et connaissances. Venus de ce monde ou de ces pays, des chercheurs indépendants remettront en cause le dogme de l'Holocauste, parmi quelques autres dogmes que les sociétés humaines se forgent de siècle en siècle, dans tous les pays et dans tous les temps. La R.H.R. est ouverte aux auteurs français et étrangers de toute opinion, sans exclusive. Elle publiera des documents et des études relatifs à la seconde guerre mondiale, base sur laquelle s'est fondé, dès 1945, le monde où nous vivons. Mais le révisionnisme ne se cantonne pas dans le temps et toute période de l'histoire l'intéresse, y compris l'actualité. Quelle meilleure illustration de l'actualité du révisionnisme que les événements de Roumanie ? L'article de Serge Thion montre que si sur le sujet on s'est laissé aller, dans la classe politique et chez les journalistes, à des extravagances, la réaction saine et naturelle qui consiste à s'interroger ensuite sur ces extravagances a été quasi instantanée. On a déliré, puis, très vite, on s'est fait révisionniste. Le procès Ceaucescu aura été un raccourci du procès de Nuremberg et «Timisoara», un condensé d'Auschwitz (p. 9-15). Lorsque s'écrira l'histoire du révisionnisme, il est probable qu'on parlera du «révisionnisme d'avant Zündel» et du «révisionnisme d'après Zündel». La figure d'Ernst Zündel, un Allemand établi au Canada, est centrale. Les deux énormes procès qui lui ont été intentés, en 1985 et 1988, ont provoqué une sorte de fracture dans l'édifice de l'Holocauste. On lira le bouleversant récit qui est fait du procès de 1988 par E. Zündel en personne (p. 16-37). Depuis longtemps, les intellectuels du monde arabo-musulman s'intéressaient au révisionnisme. Aujourd'hui, Mondher Sfar, d'origine tunisienne, franchit le pas et entre de plain pied dans un domaine où il devient indispensable que s'exprime, à son tour, la subtilité d'esprit des intellectuels de la double culture, islamique et européenne (p. 38-50). Ahmed Rami, de son côté, Berbère d'origine marocaine et vivant à Stockholm, a repris le flambeau transmis par Ditlieb Felderer. Avec une vigueur peu commune, il a réussi, par ses publications et par son action à la tête de Radio Islam, à lancer un débat historique aux répercussions internationales (voy. rubrique «Suède», p. 172-174). Fred Leuchter, ingénieur américain spécialisé dans les systèmes d'exécution capitale aux États-Unis, avait soumis en 1988 au tribunal de Toronto un rapport technique de 193 pages sur les présumées chambres à gaz d'exécution situées à Auschwitz, Birkenau et Majdanek. Ce rapport contenait les résultats d'analyse d'échantillons confiés à un laboratoire américain. La conclusion était venue : il n'avait jamais pu exister de telles chambres à gaz dans ces trois camps. Aujourd'hui, la R.H.R. publie, en avant-première, la version française d'un second Rapport Leuchter portant, cette fois-ci, sur les présumées chambres à gaz d'exécution situées à Dachau, Mauthausen et au Château de Hartheim. Pour ces trois emplacements d'Allemagne et d'Autriche, la conclusion est la même que pour les trois camps de Pologne. Robert Faurisson a rédigé la préface de ce rapport et sa bibliographie critique (p. 51-114). Toute livraison de la R.H.R. contiendra un document inédit. Le rapport Mitkiewicz a été tenu secret pendant trente ans par les Américains. Il décrit les modes de combat que la résistance polonaise a pu utiliser contre les civils et les militaires allemands en 1943. La propagation du typhus a été l'une des armes employées. Quand on se décidera à écrire une histoire générale des épidémies de typhus durant la seconde guerre mondiale, on mesurera l'étendue des ravages provoqués par ces épidémies, et par quelques autres, dans toute l'Europe en guerre. Ce que les Alliés, à la libération des camps allemands, ont photographié ou filmé consistait pour l'essentiel en un choix, bien compréhensible pour l'époque, de vues montrant des malades, des moribonds ou des morts, victimes de ces épidémies. L'Allemagne, qui se battait sur deux fronts, sans compter le front aérien, luttait aussi sur le front du typhus. Il n'y a que les moralistes pour condamner les «crimes de guerre» des vainqueurs ou des vaincus comme si la guerre elle-même n'était pas, à elle seule, le plus grand des crimes (p. 115-128). On accable aujourd'hui Staline parce que le monde communiste s'effondre mais on épargne les autres vainqueurs de la seconde guerre mondiale parce que leurs pays restent forts. Roosevelt, il est vrai, a beaucoup perdu de son crédit. Churchill est de plus en plus contesté. De Gaulle paraît moins grand. Les progrès de la recherche historique nous font découvrir leur cynisme ou leur machiavélisme dans la préparation ou la conduite de la guerre (p. 147-149). Sur le comportement des Américains et des Français à l'égard des prisonniers de guerre ou de certains civils allemands après le 8 mai 1945, le livre du Canadien James Bacque fournit des informations qui ne sont certainement pas à l'avantage du général Eisenhower et du général De Gaulle. Et cela à l'heure où le grand public apprend de quelle manière, à l'Est, on a cruellement traité les civils et les militaires allemands vers la fin de la guerre et après la guerre : les vaincus ont repeuplé les camps de concentration et la plus forte déportation qu'ait connue l'histoire, et l'une des plus cruelles, a été celle de ces millions de civils allemands chassés de l'Est par les Russes, les Polonais, les Tchèques (p. 150-160). Pour le profane qui n'a du révisionnisme que l'image qu'en proposent les grands moyens d'information, il est probable que c'est la dernière partie de cette livraison de la R.H.R. qui suscitera le plus d'étonnement. Cette partie commence à la page 161. Nous y renvoyons le lecteur. Ceux qui s'imaginaient que les historiens avaient, pour l'essentiel, fixé les traits de notre époque, sont en train de découvrir depuis quelque temps qu'il n'en était rien. On commence enfin à écrire l'histoire de la seconde guerre mondiale. Les révisionnistes se chargeront, pour leur propre part, de contribuer à cette renaissance de l'esprit critique et de répondre au besoin, irrépressible malgré tous les interdits, de savoir «ce qui s'est vraiment passé». C'est en ce sens qu'on a pu dire du révisionnisme historique qu'il est la grande aventure intellectuelle de la fin de ce siècle, de la fin de ce millénaire. La Rédaction Revue d’Histoire Révisionniste, n° 1, mai-juin-juillet 1990, pp 5 à 8. <strong>...</strong></p>