Balder Ex-Libris - Tag - EsclavageReview of books rare and missing2024-03-27T00:16:02+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearVallières Pierre - Nègres blancs d'Amériqueurn:md5:df2c6b5d5d4aa76ebbf3be01fb55d4072016-10-02T15:48:00+01:002016-10-02T14:55:53+01:00balderVallières PierreAmériquesConspirationEsclavageJewLouisianeQuébecUnited StatesÉtats-Unis <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Vallieres_Pierre_-_Negres_blancs_d_Amerique.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vallières Pierre</strong><br />
Ouvrage : <strong>Nègres blancs d'Amérique Autobiographie précoce d'un "terroriste" québécois</strong><br />
Année : 1967<br />
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Avertissement. Il est important de conserver à l'esprit, en lisant ce livre, les faits suivants. 1 - Ce livre a été écrit en prison, immédiatement après une grève de la faim de 29 jours, dans des conditions de détention particulièrement pénibles. <strong>...</strong></p>Bakony Itsvan - Les juifs cherchent à dominer les nègresurn:md5:a0307aa59a57ca7798c2d7037edd8b3b2014-02-22T22:51:00+00:002021-12-15T23:50:17+00:00balderBakony ItsvanAfriqueAmériquesConspiracyConspirationEsclavageEx-LibrisHébraïsmeJewLibrary of political secretsMexiqueMésoamériqueNorth America <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img3/Bakony_Itsvan_-_Les_juifs_cherchent_a_dominer_les_negres.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bakony Itsvan</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les juifs cherchent à dominer les nègres Impérialisme, Communisme & Judaïsme Les trois forces qui dominent le monde Library of political secrets 8</strong><br />
Année : 1982<br />
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Juifs nègres et judaïsme clandestin en Amérique latine. L'une des principales infiltrations juives dans les peuples de race nègre fut le fait des « Falashas » d'Éthiopie, qui ont la peau nègre et présentent l'aspect physique des populations nègres du continent africain. Certains vivent dans des huttes comme celles des plus pauvres Africains et sont vêtus de simples pagnes, comme le lecteur pourra en juger d'après les photographies incluses dans le présent chapitre, tirées de l’ « Encyclopédie juive castillane » et de la « Jewish Enclopedia », documents israélites faisant particulièrement autorité au sein du judaïsme. Il est utile au judaïsme de s'infiltrer dans les classes pauvres de la population, afin d'y susciter des dirigeants révolutionnaires capables de contrôler les travailleurs et paysans pauvres, puis de les lancer dans les révolutions que l'impérialisme juif favorise pour s'assurer le pouvoir sur les nations gentilles. La même chose se produit en Amérique latine, où le pouvoir juif caché a placé des communautés israélites clandestines dans les campagnes, les régions montagneuses et la forêt vierge du Brésil, ainsi que dans des nations qui, comme le Mexique, le Chili et l'Argentine, faisaient partie de l'Empire espagnol. Ces communautés clandestines se formèrent à partir du seizième siècle avec des marranes, c'est-à-dire des crypto-Juifs espagnols et portugais ; contournant les lois qui interdisaient l'émigration de chrétiens espagnols et juifs d'ascendance juive, ils réussirent à s'installer dans les différentes colonies espagnoles d'Amérique, et aussi au Brésil. Persécutés par les Inquisitions espagnole et portugaise, beaucoup durent fuir vers les montagnes et les forêts, fondant des villes dans des régions parfois lointaines, hors de portée de l'Inquisition. Par des mariages mixtes avec les autochtones, ils inaugurèrent une lignée de sang-mêlé à la fois juifs et indiens qui, étant porteurs de prénoms très chrétiens et de patronymes espagnols ou portugais, font maintenant partie de la population des pays hispanophones et lusophones d'Amérique latine, dont ils ne peuvent être distingués dans la mesure où leurs ramilles sont restées publiquement catholiques depuis des siècles bien qu'elles n'aient cessé de pratiquer le judaïsme en secret. Certains de ces marranes ou Juifs clandestins latino-américains, y compris ceux du Brésil, pratiquent publiquement la religion catholique, ce qui leur valut d'échapper à la vigilance de l'Inquisition et de demeurer dans les villes et villages en s'y organisant — sur le modèle de leurs devanciers européens — en sociétés hautement secrètes. Ces dernières composent à l'heure actuelle le pouvoir caché qui contrôle la franc-maçonnerie, les partis politiques et les guérillas marxistes et qui a malheureusement réussi à imposer à Cuba — nouveau satellite de Moscou — une dictature totalitaire conduite par le marrane Fidel Castro. <strong>...</strong></p>Savine Albert - Dans les fers du Moghreburn:md5:bbba2a43da08dc59181c6884534601fd2014-01-27T17:31:00+00:002014-01-27T17:31:00+00:00balderSavine AlbertAfriqueChristianismeEsclavageGermanyMarocOdinPolygamyThe OrderValhallaWotan <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Savine_Albert_-_Dans_les_fers_du_Moghreb_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Savine Albert</strong><br />
Ouvrage : <strong>Dans les fers du Moghreb Récits de Chrétiens esclaves au Maroc (XVIIe et XVIIIe siècles) Annotés d'après les documents d'archives et les mémoires</strong><br />
Année : 1912<br />
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Préface. La vie des captifs chrétiens dans les fers marocains au XVIIe et XVIIIe siècles, telle qu'elle est racontée par les victimes, soit des pirates barbaresques, soit, après l'annihilation à peu près compète de la piraterie, par les victimes des accidents, alors bien plus fréquents qu'aujourd'hui, de la mer, c'est là l'objet de ce recueil. Il touche par conséquent à la grave et intéressante question du rachat des esclaves, qui fut l’œuvre glorieuse des trois ordres religieux spécialement destinés à cette tâche par leurs fondateurs, œuvre qui souvent coûta la vie à plus d'un rédempteur. De là l'emprunt, non plus à un des captifs, — ils étaient le plus souvent peu experts à manier la plume et, leurs souffrances contées, gardaient le silence, — mais au père Dan, du récit de la rédemption qu'il dirigea, et surtout des processions qui signalèrent le retour des captifs rachetés. <strong>...</strong></p>Savine Albert - La vie au galèresurn:md5:bce6a6dfa5c42a802792f509569e53ec2014-01-27T17:31:00+00:002014-01-27T17:35:47+00:00balderSavine AlbertAmériquesEsclavageEuropeFranceThe OrderWotan <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Savine_Albert_-_La_vie_au_galeres_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Savine Albert</strong><br />
Ouvrage : <strong>La vie au galères Souvenirs d'un prisonnier D'après les documents d'archives et les mémoires</strong><br />
Année : 1909<br />
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Préface. Après la Bastille, le plus grand épouvantail de l'Ancien Régime furent les galères. La vie y est terrible. « Railler la galère pour prison à un homme, disait Jacques Aubery. c'est le mettre là pour mourir plutôt que pour être garde, vu l'austérité de la galère ou l'on couche sur l'eau et sous le ciel, avec nourriture d'eau et de biscuit. » Si la flotte manque de bras, aujourd'hui on y met ceux qui auraient du être condamnés à mort, « vu la nécessité que le roi témoignait d'avoir des forçats. » Demain on y mettra de simples gens sans aveu, vagabonds et bohémiens « cherchant peut-être à dérober », ramasses dans les campagnes par les dragons. Si certains jours il faut peu de chose pour y être envoyé, une fois embarqué, on ne sait guère quand ni comment on en sortira. Que signifient les arrêts de condamnation? On y reste au delà du terme fixé à la peine. « Reboul, dit un intendant à Seignelay, est demeuré quatorze ans en galères au delà de son temps. Sa liberté pourrait lui être accordée par grâce, si vous l'ave;. Monseigneur, pour agréable. » <strong>...</strong></p>Ryssen Hervé - Israël et la traite des Blanchesurn:md5:f86b81933b548d08f85b2d0ba11709e32013-05-16T14:08:00+01:002021-02-06T23:12:04+00:00balderRyssen HervéConspirationEsclavageHébraïsmeIsraël <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img2/.Ryssen_Herve_-_Israel_et_la_traite_des_Blanches_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Ryssen Hervé (Lalin Hervé)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Israël et la traite des Blanches</strong><br />
Année : 2010<br />
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Depuis la chute du mur de Berlin, en 1989, des centaines de milliers de jeunes femmes d'Europe de I'Est ont été happées par des réseaux de prostitution et emmenées vers des destinations lointaines. L'organisation internationale des Migrations estime aujourd'hui à 500 000 le nombre de ces jeunes femmes de l'ancien bloc communiste tombées dans les réseaux mafieux. Les médiats restent extrêmement discrets sur ce sujet. Au mois de mai 2000, pourtant, un rapport d'Amnesty international avait révélé l'ampleur du phénomène et pointé du doigt l'Etat d'IsraëI, la plaque tournante de ce trafic. <strong>...</strong></p>Caplain Jules - La France en Haïti Catholicisme Vaudoux Maçonnerieurn:md5:f1e66febd319a36dab89543d48749b4b2012-06-11T17:26:00+01:002014-05-07T21:06:05+01:00balderCaplain JulesAfriqueAmériquesCatholiqueEsclavageFranc-maçonnerieHaïtiHébraïsmeVaudoux <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Caplain_Jules_-_La_France_en_Haiti_Catholicisme_Vaudoux_Maconnerie_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Caplain Jules</strong><br />
Ouvrage : <strong>La France en Haïti Catholicisme Vaudoux Maçonnerie</strong><br />
Année : 1904<br />
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Vous ne demandez, mon cher ami, de consigner par écrit les réflexions que m'a suggérées la lecture de votre étude: La France en Haïti. Je vais le faire bien volontiers, en appliquant, aux faits dont vous avez dressé le tableau d'ensemble, les principes de cette doctrine positive qui a conquis la complète adhésion de mon esprit, au point de faire corps avec lui. Le nègre, dites-vous avec raison, est un fétichiste. Je ne méprise point du tout cet état d'âme. L'humanité tout entière a débuté par là, il y a quelques milliers d'années. En outre, lorsque les yeux de nos enfants commencent à s'ouvrir au monde extérieur, avant même qu'ils puissent se servir un peu de leur langue pour nous faire connaître leurs impressions, ils raisonnent en fétichistes. Enfin, c'est à une survivance de cet état lointain que nous devons cette spontanéité dans l'élan qui est d'une si grande ressource pour le perfectionnement de tout ce qui nous intéresse, et qui a toujours été un puissant secours pour empêcher l'établissement définitif des tyrannies quelconques, visant à nous courber sous un joug immuable. Mais il faut noter de suite que le nègre d'Haïti est un fétichiste placé dans des conditions spéciales. Ses ancêtres furent arrachés à leur sol natal. Ce fait seul dût imprimer une très profonde secousse morale à des natures qui perdent vite leur équilibre particulier, lorsqu'on les détache brusquement de leur milieu d'origine. Si le déracinement devient funeste aux Occidentaux eux-mêmes, on peut dire qu'il détraque tout à fait le pur fétichiste. Il suffira, pour s'en rendre compte, d'observer l'agitation anormale qui se manifeste chez le tout petit enfant, lorsqu'il se trouve, depuis plus de deux ou trois heures, éloigné de la maison familiale et des êtres, animés ou non, qui la peuplent. A cette première cause de trouble, il faut en ajouter une seconde. Une fois déraciné, l'ancien nègre de l'Afrique s'est trouvé en contact avec des Occidentaux qui ne représentaient pas précisément la fleur de la civilisation européenne. C'étaient des colons, c'est-à-dire des exploiteurs guidés par de grossiers instincts de lucre, et totalement dépourvus de scrupules dans leurs relations avec des hommes qu'ils considéraient à peu près comme un simple bétail. Un pareil contact ne pouvait guère améliorer les pauvres sauvages réduits en servitude. Cette double circonstance me paraît de nature à expliquer notamment la profonde amoralité sexuelle qui vous a tant frappé chez la population d'Haïti, alors que les indigènes de la Polynésie, de la Mélaniésie, et même de. l'Afrique ont en général des moeurs beaucoup moins déréglées, et se montrent même parfois plus calmes, à cet égard, que beaucoup d'Européens. Ceci posé, la question reste de savoir comment on pourrait perfectionner la race noire d'Haïti. La principale insuffisance de l'être humain, quand il n'a pas dépassé la période fétichique, vient de ce qu'il n'a pas la notion d'immuabilité. Sa profonde spontanéité, si précieuse à tant d'égards, ne comprend pas la nécessité de se soumettre à une règle. L'existence des fatalités immodifiables qui nous dominent, dans l'ordre moral comme dans l'ordre social, et dans l'ordre physique, lui demeure une notion inaccessible. Le grand service que nous ont rendu les diverses doctrines théologiques, appelées successivement et simultanément à se partager l'empire du monde civilisé, a été justement de nous habituer à cette soumission, en personnifiant ces fatalités et en en faisant la volonté de Dieu ou des Dieux. Toutefois, par cela même que leur tâche était de nous familiariser avec la notion de l'immuable et de discipliner une turbulence excessive, elles inclinaient généralement à établir une tutelle tellement lourde que la spontanéité humaine risquait de se trouver complètement brisée. Les théocraties du passé, qui ont pesé, pendant des milliers d'années, sur certains peuples, sont un exemple des dangers que peut offrir le souci de la réglementation à outrance. En résumé, le grand problème humain s'est toujours ramené à celui de la conciliation entre l'ordre et le mouvement. Pour faire quelque chose, il faut être capable de se mettre en mouvement. Et pour faire quelque chose de bon, il ne suffit pas de s'agiter au hasard. Auguste Comte a dit que sa doctrine pourrait servir à parachever l'éducation de toutes les variétés d'êtres humains, sans excepter les plus arriérés. Cette doctrine, en effet, par cela même qu'elle se pose comme le résumé complet d'une évolution générale, dont les peuples européens ont seuls parcouru toutes les étapes, offre des points de contact avec toutes les doctrines religieuses ou philosophiques qui ont préparé son avènement. Elle en offre de très importants avec le fétichisme. Comte a résumé bien des fois sa pensée fondamentale dans cet alexandrin : Agir par affection (c'est-à-dire par impulsion spontanée) et penser (c'est-à-dire tenir compte des nécessités immuables) pour agir. Or, donner la première place à l'impulsion spontanée, c'est proclamer un principe que les populations fétichiques comprendront sans peine. D'autre part si l'esprit du fétichisme porte à tout animer dans le monde, et à voir des êtres semblables à l'homme même dans l'arbre et la pierre, le positivisme, de son côté, incline à admettre chez tous les êtres, humains ou non, une certaine identité de nature; de telle sorte que, entre l'homme, l'animal, la plante, le. corps brut, la différence consisterait uniquement dans l'intensité des caractères partout les mêmes (par exemple l'intelligence dans le corps brut se bornerait à la perception des phénomènes physico-chimiques dont il est le siège). Ce n'est pas ici le lieu de développer ce côté de notre doctrine qui vous causera peut-être quelque surprise. Je me bornerai à vous faire remarquer que, depuis plus d'un siècle, les poètes — ces perspicaces précurseurs de tous les penseurs systématiques — nous parlent couramment de l'âme des choses. Mais ce qu'il importe de retenir, c'est que ces idées trouveraient un terrain tout préparé dans le cerveau d'un fétichiste. Je dois dire pourtant que, si, depuis la mort du maître, on a pu voir des musulmans et des polythéistes hindous se ranger sous la bannière positiviste, il n'y a pas encore d'exemples qu'un seul fétichiste ait suivi ce mouvement. La difficulté est ici de faire admettre la notion de l'immuable. Et elle est particulièrement grande pour ces phénomènes moraux, les plus délicats et les plus cachés de tous, que si peu d'Occidentaux encore conçoivent comme pouvant faire l'objet d'une science ayant des principes certains. Mais, parmi les doctrines qui se basent sur l'absolu et qui prétendent nous fournir l'équation de l'univers, il en est une qui se rapproche beaucoup du positivisme, sinon par ses explications dogmatiques, au moins par les pratiques auxquelles elle conduit. Cette doctrine, c'est le catholicisme. Elle admet une règle : la loi de Dieu. Elle admet aussi le mouvement : la charité qui est susceptible de se transformer en tendance générale à améliorer. Et il importe peu qu'en pure logique les deux choses soient inconciliables. Les hommes — heureusement — ne se laissent pas guider uniquement par la pure logique déductive. Aux yeux d'un positiviste, c'est une question secondaire que de savoir par quels raisonnements ils justifient leurs actes. Seul le résultat demeure de très haute importance. Pour les populations européennes ayant plus ou moins directement subi l'influence de la civilisation romaine, le catholicisme a été une excellente recette de perfectionnement moral. Cette recette est-elle applicable à de simples nègres ? J'avoue que je n'oserais pas être tout à fait affirmatif. Il existe pourtant des raisons sérieuses pour penser que oui. Les missions des jésuites paraissent avoir très heureusement modifié les Hurons du Canada, ainsi que les habitants du Paraguay. Vous-même avez constaté que les pompes du catholicisme agissaient fortement sur les âmes primitives d'Haïti. En tout cas, je n'aperçois aucun inconvénient à persévérer dans cette tentative. A ce propos, une remarque me vient à l'esprit. Vous rappelez que le cardinal Lavigerie recommandait à ses Pères blancs de parler de tout excepté de religion et de civiliser les Arabes avant de les amener au catholicisme. J'admire beaucoup l'œuvre du grand prélat. Je trouve même sa méthode excellente. Seulement il me paraît avoir, à son insu, organisé des missions auxquelles le qualificatif de catholiques conviendrait moins que celui de positivistes. Et encore une fois je ne vois que des avantages à ce qu'il en soit ainsi. Mais je me demande de quelle utilité pourra être l'enseignement de la théologie à des Arabes ou à des Nègres qu'on aura pu civiliser et moraliser sans son concours... Je n'insiste pas. Seuls les résultats importent, par quelque procédé qu'ils soient obtenus. Pour en revenir aux populations d'Haïti, vous émettez l'avis que le gouvernement de cette république devrait protéger la religion catholique. Vous savez que, pour les pays d'Europe, et pour la France principalement, nous tenons énergiquement à la séparation complète des deux pouvoirs. Si nous estimons que le catholicisme peut encore jouer un rôle très utile, même en France, nous croyons que l'efficacité même de son action reste subordonnée à une entière indépendance, comportant toute la liberté et aussi tous les risques qui en découlent. Nous pensons que Louis XIV rendit un bien mauvais service à la cause romaine en révoquant l'édit de Nantes ; qu'il est en partie responsable de cette immoralité scandaleuse dont le clergé du XVIIIe siècle, se croyant garanti contre les critiques de ses rivaux, donna le fâcheux spectacle ; et que la séparation des Églises et de l'État, en obligeant les autorités ecclésiastiques à sortir de la routine pour adopter certaines transformations mieux en harmonie avec les nécessités modernes, serait pour elle le point de départ d'un regain de vitalité. Mais j'ajoute tout de suite que Haïti n'est pas la France « Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au delà. » Le mot de Pascal équivaut presque à cet aphorisme positiviste : Tout est relatif, voilà le seul principe absolu. Je pense en tout cas que la protection devrait être fort discrète. Ces deux moitiésde Dieu, le pape et l'empereur, doivent rester distinctes. Dans l'état actuel du monde, les théocraties ne peuvent être utiles nulle part. Aussi bien, je crois que tel est votre avis. Selon vous, il ne s'agirait que de certaines mesures de détail, se ramenant au fond à lever des entraves, comme ce serait le cas pour cette puérile question des mariages devant l'Église. Avec un peu de bon sens et de bonne volonté, on découvrirait aisément le moyen de tout concilier, sans faire du catholicisme une religion d'État, ce qu'il faut éviter à tout prix. Je viens d'écrire puérile question, à propos de l'affaire des mariages. Mais ce n'est peut-être pas le mot qui convient, si l'on songe à ce mouvement anticatholique que la franc-maçonnerie entretient là-bas comme chez nous. La méthode maçonnique est partout la même, sournoise, hypocrite, masquée sous des apparences de progrès, de légalité. Ce n'est pas un des côtés les moins curieux de votre étude que le passage où vous montrez la secte poursuivant son œuvre jusque dans cette île de l'Océan. En vous lisant, je me souvenais de cette conférence où M. Copin-Albancelli, recherchant quelle pouvait être l'âme de la maçonnerie, concluait de son universalité à une inspiration juive. La République d'Haïti aurait donc une théocratie à redouter; mais ce n'est pas la théocratie catholique, c'est celle qui poursuit, depuis tant de siècles, son rêve fou mondiale domination Pourtant si j'envisage la question de haut, en négligeant les difficultés de l'heure présente, je suis bien rassuré. La judéo-maçonnerie peut exercer là comme ailleurs son action destructive. Quant à soumettre des fétichistes d'une manière un peu durable à sa domination, elle n'y parviendra pas. ANTOINE BAUMANN, Membre de l'exécution testamentaire d'Auguste Comte. <strong>...</strong></p>L'esclavage en Afrique par un ancien diplomateurn:md5:639646cb83c2f0c685fb32a6965864592012-02-16T23:54:00+00:002014-03-07T21:52:04+00:00balderAnonymesAfriqueEsclavage <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.L_esclavage_en_Afrique_par_un_ancien_diplomate_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Anonyme</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'esclavage en Afrique par un ancien diplomate</strong><br />
Année : 1890<br />
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L'esclavage subsiste encore, excepté en Algérie, dans toute l'immense étendue de l'Afrique Septentrionale, Centrale et Équatoriale ! Il règne toujours au Marok, et la triste expérience du passé ne permet guère, hélas d'avoir une grande confiance dans l'efficacité pratique des mesures adoptées récemment par la Sublime-Porte et Ali-Bey, possesseur du royaume de Tunis. Les intentions de ces princes sont des plus louables, mais seront-elles bien respectées ? « On prétend que les Circassiens réfugiés dans l'Empire Ottoman continuent à vendre leurs enfant s; mais ce qu'ils avaient de mieux jadis étaient les enfants qu'ils volaient aux Russes. Leurs nobles n'ont jamais vendu les leurs, et ce que j'ai vu de leurs enfants de basse classe ne peut pas fournir des sujets de première qualité. Il y a donc tout lieu de croire que les marchés d'esclaves de Top-Hane se recrutent avec des enfants achetés ou volés en Europe, particulièrement dans les provinces roumaines de Hongrie, si bien qu'il y a quelques années, le parlement Hongrois en avait pris l'alarme. Il paraît que ce sont surtout les zingari, connus pour être des voleurs d'enfants. qui se livrent à ce commerce, soit en vendant les leurs, soit, plus souvent, ceux des autres. « Depuis longtemps, il n'y a plus de marché public. Ce sont de vieilles femmes qui amènent les enfants de très loin et les livrent aux chalands, dans certaines maisons particulières, dont les portes ne s'ouvrent qu'à bon escient. » Comme on le voit, la luxure et la polygamie ne sont pas seules les causes de l'esclavage. Dans certaines régions de l'Afrique, l'homme le plus considéré est celui qui possède le plus grand nombre de femmes. Et puis, ailleurs, on a besoin d'esclaves, de femmes, de jeunes filles surtout, pour les funérailles sanglantes, pour les sacrifices expiatoires, pour les hécatombes traditionnelles! comme on a 'besoin d'esclaves pour le transport des marchandises et le paiement de l'ivoire. La ville d'Araba, sur la rive droite du Niger, a vingt mille habitants, point de roi, mais trois cents à quatre cents roitelets. La royauté est accessible à tout le monde. L'unique moyen est d'immoler un ou deux êtres humains. C'est le signe de la puissance et de la richesse. <strong>...</strong></p>The Nation of Islam - Les relations secrètes entre les Noirs et les juifsurn:md5:0ec481f6dc3c120e9433e32e1d3b6f2d2012-02-15T23:26:00+00:002014-05-07T21:45:32+01:00balderThe Nation of IslamAfriqueEsclavageHébraïsme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.The_Nation_of_Islam_-_Les_relations_secretes_entre_les_Noirs_et_les_juifs_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>The Nation of Islam</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les relations secrètes entre les Noirs et les juifs Tome 1</strong><br />
Année : 1991<br />
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A propos des sources. Les renseignements contenus dans ce livre proviennent essentiellement de sources juives. On s’est efforcé de choisir les auteurs juifs les plus reconnus, qui publient dans des revues historiques scientifiques ou des maisons d’édition juives réputées. On a exclu bon nombre de données qui renforçaient les thèses présentées ici parce qu'elles provenaient d’auteurs considérés comme antisémites ou antijuifs. <strong>...</strong></p>Dommergue Polacco de Ménasce Roger - Le martyre et l'holocauste des nègres par les juifs trafiquants esclavagistesurn:md5:1bd4af573805a64b3cbca837d66b24592012-02-10T18:46:00+00:002014-02-14T01:17:25+00:00balderDommergue Polacco de Ménasce RogerAfriqueEsclavageHébraïsmeNew YorkRévisionnisme <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Dommergue_Polacco_de_Menasce_Roger_-_Le_martyre_et_l_holocauste_des_negres_par_les_juifs_trafiquants_esclavagistes_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Dommergue Polacco de Ménasce Roger</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le martyre et l'holocauste des nègres par les juifs trafiquants esclavagistes</strong><br />
Année : 2004<br />
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Par Roger Dommergue Polacco de Ménasce. un Juif en désaccord absolu avec la judéopathie mondialiste totalitaire. Quand la communauté noire internationale va-t-elle demander des réparations à la communauté juive pour l'immense préjudice que lui a causé le commerce juif des esclaves? Quand dressera-t-on un monument commémoratif de ce crime de lèse-humanité à ne jamais oublier? Parmi ceux qui accompagnaient Christophe Colomb à son arrivée en Amérique, il y avait cinq juifs: Luis de Torres, Marco, Bernal, Alonzo de la Calle, Gabriel Sanchez. Ils persuadèrent Colomb de capturer 500 Indiens et de les vendre comme esclaves à Séville en Espagne. Les juifs furent chassés d'Espagne en 1492 et du Portugal en 1497. Ils s'installèrent aux Pays-Bas où ils fondèrent «la Compagnie hollandaise des Indes Occidentales» (c'est à dire l'Amérique). En 1654, Jacob Barsimson fut le premier juif à émigrer de Hollande vers New Amsterdam (New York). De nombreux juifs le suivirent, s'établissant sur la côte et commerçant avec les autochtones. Le premier à exercer ainsi ce métier fut Layman Lévi qui échangeait des pacotilles venues de Hollande contre de précieuses fourrures. Les juifs Nicholas Lowe et Joseph Simon prirent alors part à ce fructueux commerce. Lowe eut l'idée de vendre du rhum aux Indiens sans méfiance. En un rien de temps la ville portuaire de Newport comptait 22 distilleries. Toutes appartenaient à des juifs. L'intoxication alcoolique des Indiens et les massacres perpétrés en état d'ivresse sur les premiers colons européens sont dus à cette initiative juive. Newport, qu'on appela longtemps «Newport juif», devint un centre mondial du trafic d'esclaves avec l'Afrique. Les bateaux partaient de Newport vers l'Afrique Occidentale pour y capturer leur cargaison humaine noire. 128 bateaux qui débarquaient des esclaves à Charleston appartenaient à des Juifs de Newport et de Charleston. La traite des esclaves était un monopole juif. Le juif Aaron Lopez joua un rôle très important dans ce monstrueux commerce de 1726 à 1774, il contrôla personnellement 50% de la traite de ces êtres humains dans toutes les colonies américaines. En 1717 la première loge maçonnique fut fondée: 90% des membres en étaient juifs. Vingt ans plus tard la loge maçonnique King David fut fondée. Elle était entièrement juive; Accompagnons le bateau «Abigaïl» du juif Aaron Lopez jusqu'en Afrique Occidentale. En mai 1752, il fut chargé de 34.000 litres de rhum, d'une énorme quantité de fers à mettre aux mains et aux pieds des Noirs qui seraient ramenés comme esclaves. Il y avait aussi pistolets, poudre, sabres, et une abondante camelote, comme fond de «commerce». Le capitaine Freedman était un juif. Trois mois plus tard ils abordaient la terre d'Afrique où de nombreux agents d'établissements juifs, travaillaient pour le compte des trafiquants d'esclaves, étaient sur place. Les choses se passèrent comme avec les Indiens: les chefs des tribus noirs étaient saoulés au rhum et vendaient or, ivoire et membres de la tribu. Souvent on menait les tribus noires à travers forêts et steppes jusqu'à la côte. Le trajet durait des semaines et beaucoup succombaient. Les cravaches empêchaient les colonnes d'esclaves de s'arrêter. On abandonnait à une mort affreuse ceux qui ne pouvaient suivre. Des ossements jonchaient les pistes. Arrivés à la côte, ils étaient laissés dans leurs fers, inspectés comme du bétail, et gardés par des chiens féroces. <strong>...</strong></p>Gougenot des Mousseaux Roger - L'émancipation aux Antilles françaisesurn:md5:f1e3cdef2338c97373a0aef0730246a12012-02-06T23:59:00+00:002014-05-07T21:46:26+01:00balderGougenot des Mousseaux RogerAngleterreAntillesEsclavageFranceIrlandeProlétaires <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Gougenot_des_Mousseaux_Roger_-_L_emancipation_aux_Antilles_francaises_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Gougenot des Mousseaux Roger</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'émancipation aux Antilles françaises État actuel des colonies. Travail libre. Mulatres. L'anglais, son prolétariat, l'Irlande. L'esclavage en Angleterre.</strong><br />
Année : 1844<br />
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PRÉFACE. Trois intérêts réellement indivisibles demandent à se concilier et à régner en paix dans la grande et intéressante question de l'Émancipation des Esclaves aux colonies : Les intérêts de la France, les intérêts du Nègre, Les intérêts du Planteur et du Métropolitain; en d'autres termes ceux de la race blanche. Ou bien, et les systèmes l'ont complètement oublié, la question se résume dans ce seul mot : Politique. Il nous fait peur ! Aurions-nous le malheur d'ignorer que la politique de la France emporte ces trois idées : Humanité, justice, raison. Nous figurons-nous la politique nécessairement animée des inspirations de Machiavel ! Ce serait prendre celle de nos voisins pour la nôtre ! Trois intérêts qui ne sont qu'un, doivent donc rester inséparables et inviolables dans cette question de haute politique; le sacrifice de l'un à l'autre, voilà ce qui rend les systèmes exclusifs, et par conséquent vicieux. <strong>...</strong></p>