Balder Ex-Libris - Tag - Ile de pâquesReview of books rare and missing2024-03-27T00:16:02+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearKadath Chroniques des civilisations disparues - 064urn:md5:f4ee7f7896b55217264eb7ae41610dd52012-03-03T01:41:00+00:002014-05-07T21:39:13+01:00balderKadathCivilisationsHistoire InterditeIle de pâques <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_064_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Kadath Chroniques des civilisations disparues</strong><br />
Ouvrage : <strong>064</strong><br />
Année : 1987<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_064.zip">Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_064.zip</a><br />
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L’ÎLE DE PÂQUES, TRENTE NUMÉROS PLUS TARD... De cette minuscule île de Pâques, quelque 165 km2 tout au plus, deux cent soixante-cinq ans après sa découverte, on ignore toujours... le nombre exact des statues si fameuses ! C’est à peine imaginable et pourtant ce constat est bien réel. Evidemment, des inventaires sont connus mais, pour avoir été dressés aux temps héroïques des premières expéditions — ceci dit sans contester leur valeur documentaire — ils sont incomplets, contradictoires et maintenant obsolètes. Ô combien plus important que la seule vaine satisfaction de détenir un chiffre exact à l’unité près, il y a le fait qu’un méticuleux recensement et un examen des innombrables singularités de la grande statuaire de l’île, ne peuvent qu’étoffer notre connaissance de ceux qui en furent les maîtres d’oeuvre. On comprend mal, dès lors, qu’une telle étude ne soit point disponible. Et de se perdre encore davantage en conjectures si, comme notre ami Jean Bianco le pense, ces informations étaient en outre susceptibles de contribuer à lever le voile du mystère de l’écriture pascuane... <strong>...</strong></p>Kadath Chroniques des civilisations disparues - 013urn:md5:bb0d789f7737fe14ecfa62ed2ba64ae12012-03-03T01:37:00+00:002014-05-07T21:56:06+01:00balderKadathCivilisationsHistoire InterditeIle de pâquesIsraëlMésoamérique <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_013_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Kadath Chroniques des civilisations disparues</strong><br />
Ouvrage : <strong>013</strong><br />
Année : 1975<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_013.zip">Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_013.zip</a><br />
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Ami lecteur, n’hésitez pas à prendre la parole. Des sondages nous sont revenus avec la mention « très bien » à chaque poste : voilà qui est certes flatteur pour nous, mais qui ne nous permet guère de tirer beaucoup d’autres conclusions. Mais surtout, nous avons déjà souvent eu l’occasion de rencontrer des lecteurs qui poursuivent, isolément, de très intéressantes études auxquelles nous souhaiterions faire écho ou qui pourraient même faire l’objet d’une parution intégrale dans notre revue. Hélas, péchant par une trop grande modestie, ces personnes hésitent à nous rejoindre : maintes fois il nous fut répondu par un large sourire et un haussement d’épaules, sous-entendant : « Vous plaisantez, je ne suis pas compétent ». A ceux-là, nous voulons dire bien haut : « Détrompez-vous ! » Il est des énigmes archéologiques que nous hésitons encore à aborder, faute de documents, faute de renseignements. Ceux-ci, peut-être, les possédez-vous, et peut-être aussi pouvons-nous vous fournir ce qui vous manque. Croyez-le, avant que KADATH n’existe, nous étions comme vous isolés mais tenaces. Ce treizième numéro devrait plutôt nous porter chance, puisque nous voilà à 40 pages. Lentement mais sûrement, notre action se développe. Incidemment, on nous sollicite à la radio, dans la presse, dans les librairies... voire même les agences de voyages, car c’est notre avis qu’on recherche. Cela nous fait plaisir, bien sûr, non pour les honneurs, mais pour notre action à tous, puisque cela démontre que nous sommes dans le vrai, que le nombre d’amateurs éclairés ne fait que grandir, et que ceux-ci désirent une information qui, pour côtoyer le fantastique, n’en reste pas moins ancrée dans la réalité. « Réalisme fantastique », disait-on en d’autres temps... Ce numéro, proche de l’actualité par ailleurs, aurait pu comporter deux cahiers : sciences appliquées ou Amérique avant Colomb. Pour réaliser la couverture, Gérard Deuquet — et il faut l’en féliciter ici — s’est laissé séduire par l’aspect merveilleusement graphique du premier. Et, ma foi, notre « K » semble avoir été conçu aussi bien pour des objets que pour des statues ou des monuments ! Nous vous souhaitons donc une lecture particulièrement agréable, et vous fixons, comme convenu, rendez-vous en septembre. KADATH. <strong>...</strong></p>Kadath Chroniques des civilisations disparues - 002urn:md5:fd128f9a8c106dec79d9251942bf7fc72012-03-03T01:34:00+00:002014-05-07T21:40:35+01:00balderKadathCivilisationsHistoire InterditeIle de pâques <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_002_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Kadath Chroniques des civilisations disparues</strong><br />
Ouvrage : <strong>002</strong><br />
Année : 1973<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_002.zip">Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_002.zip</a><br />
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Toujours plus haut s’élevait la lumière et, se mêlant aux orbes du zénith, elle clignotait avec une lugubre ironie vers les troupes en vol. Le nord tout entier n’était maintenant au-dessus d’elle que ténèbres épouvantables, ténèbres pleines de rocs, montant d’infinies profondeurs jusqu’a d’infinies hauteurs. Au sommet de toute cette vision, il n’y avait que ce pâle phare clignotant et inaccessible. Carter en étudia la lumière plus attentivement, et discerna a la fin quelles étaient les lignes que dessinait, a contre-ciel sur le diadème d’étoiles inconnues, son arrière-plan d’un noir d’encre. Il y avaient des tours sur ce titanesque sommet, d’horribles tours couvertes de dômes et comptant d’innombrables étages. Elles étaient groupées selon une architecture dont l’habileté dépassait tout ce que les hommes peuvent concevoir, même au monde du rêve ; bâtiments et terrasses pleins a la fois de merveilleux et de menaces, minuscules et noirs, se détachaient au loin contre le diadème stellaire, qui brillait avec malveillance a l’extrême limite de la vue. Couronnant cette montagne démesurée, il y avait un château dépassant toute imagination mortelle, et a l’intérieur de ce château luisait la lumière blafarde et morbide du démon, faisant planer une sorte de crépuscule sur ses murailles d’onyx poli. La pâle lueur du phare se révélait maintenant n’être qu’une fenêtre brillante, allumée vers le sommet de l’une des plus hautes tours. Lorsque l’armée, prisonnière du courant qui la portait, approcha du sommet de la montagne, Carter pensa qu’il avait discerné de déplaisantes ombres en train de traverser lentement l’espace faiblement éclairé. La fenêtre était étrangement voûtée, et sa forme n’avait absolument rien de terrestre. Le roc massif avait a présent cédé la place aux gigantesques fondations du château monstrueux. Randolph Carter comprit alors que sa quête était terminée, et qu’il apercevait au-dessus de lui le but de tous les voyages interdits et de toutes les visions audacieuses : le siège incroyable et fabuleux des Grands Anciens au-dessus de Kadath, la cite inconnue qui se dresse au sein de l’immensité froide… Howard Phillips LOVECRAFT (Démons et merveilles). <strong>...</strong></p>