Balder Ex-Libris - Tag - Monopole UniversitaireReview of books rare and missing2024-03-27T00:16:02+00:00urn:md5:aa728a70505b2fae05796923271581c2DotclearGuillaume Pierre - De la misère intellectuelle en milieu universitaireurn:md5:e20d16122410e93d3d2e94482dc084752012-03-01T02:28:00+00:002014-05-07T21:42:04+01:00balderGuillaume PierreAllemagneHébraïsmeMonopole UniversitairePologneRévisionnismeTroisième Reich <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Guillaume_Pierre_-_De_la_misere_intellectuelle_en_milieu_universitaire_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Guillaume Pierre</strong><br />
Ouvrage : <strong>De la misère intellectuelle en milieu universitaire et notamment dans la corporation des historiens</strong><br />
Année : 1995<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://balderexlibris.com/public/ebook/Guillaume_Pierre_-_De_la_misere_intellectuelle_en_milieu_universitaire.zip">Guillaume_Pierre_-_De_la_misere_intellectuelle_en_milieu_universitaire.zip</a><br />
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VERIDIQUE RAPPORT SUR UN EXEMPLE CONSTERNANT D'AVEUGLEMENT COLLECTIF ET DE CUISTRERIE PRETENTIEUSE impliquant en leur fonction d'état des personnalités représentatives susceptibles en l'absence de réaction d'attirer le discrédit et la déconsidération sur l'ensemble de la classe intellectuelle. Rarement livre aura bénéficié, dès sa sortie des presses, d'une telle couverture médiatique, et d'une revue de presse aussi unanimement élogieuse. L'Express a ouvert le feu (23 septembre), suivi par Libération (24 septembre), Le Monde (26 septembre), Le Nouvel Observateur (30 septembre), Témoignage Chrétien (9 octobre), L'Evénement du Jeudi (14 octobre) et probablement quelques autres. Libération revient sur le sujet le 21 octobre et Le Monde le 23 octobre dans une lettre du professeur Jacques Bariéty. Dans le même temps l'auteur était invité à Ex libris, sur TF1, par Poivre d'Arvor et par Elkabbach sur France-Inter. Le motif de cette agitation? C'est Témoignage Chrétien qui le formule le plus brièvement: "Les thèses négationnistes sont anéanties". Que les journalistes ne lisent pas les oeuvres qu'ils commentent, c'est banal. Qu'ils traitent d'un sujet en se recopiant les uns les autres et en se préoccupant d'abord de ce que leur employeur a envie d'entendre, c'est aussi extrêmement banal. Ce qui l'est moins, c'est que cette fois la masse des mensonges, erreurs, sottises, qu'ils ont tartinés leur a été directement fournie par quelques universitaires parfaitement homologués comme François Bédarida, qui se présente à nous dans L'Express comme: "Directeur de recherche au CNRS et secrétaire général du Comité international des sciences historiques; auteur de La politique nazie d'extermination (Albin Michel)", et Denis Peschanski, "Chargé de recherche au CNRS, Institut d'histoire du temps présent." Le livre est paru dans une collection: "Histoire du XXe siècle" dont le directeur est Denis Peschanski. Le comité scientifique est composé de François Bédarida, Serge Bernstein, Françoise Cribier, Serge Ingerflom, Jean-François Sirinelli, et Jean Steingers (sic) (C'est du moins ce qui figurait en page VI de l'exemplaire dédicacé qui m'a été envoyé par l'auteur mais, renseignement pris, il faut lire Jean Stengers, professeur à l'Université Libre de Bruxelles, dont le nom néerlandais avait été germanisé, comme les noms des Juifs allemands et des Allemands juifs, dans le premier tirage du livre, erreur rectifiée dans les tirages suivants). François Bédarida, qui semble bien être le maître d'oeuvre et la caution intellectuelle de toute l'opération, fournit dans son article de L'Express la totalité des mensonges qui baliseront l'exploitation médiatique subséquente de l'événement. Sous le titre "Un acquis incontournable", il commence par annoncer que le livre de Pressac est "Définitivement incontestable". La légende de l'illustration - une reproduction en réduction de la page de couverture - confirme: "Un travail terrifiant et sans réplique". Asseyons-nous un instant par terre... Prenons-nous la tête dans les mains..., et posons-nous la question: Que signifie "Définitivement incontestable"? Que signifie "Un travail sans réplique"? - C'est une incantation! Bédarida prend ses désirs pour la réalité! Et ses désirs sont révélateurs d'une visée délirante et totalitaire... Dans le monde réel des hommes réels, une thèse définitivement incontestable, un travail sans réplique, cela n'existe pas et, surtout, cela n'a aucun sens. De toute façon, encore faudrait-il attendre de voir ce que précisément les révisionnistes auraient éventuellement à répliquer. Mais là, il est vrai, Monsieur Bédarida ne risque pas grand-chose. Même si les révisionnistes prétendaient répliquer, le public de Bédarida ne risque pas d'en être informé. La censure et la loi veillent. Toute contestation du dogme par voie de presse est passible d'une peine pouvant aller jusqu'à un an de prison et 300.000 francs d'amende auxquels s'ajoutent éventuellement les dommages et intérêts réclamés par les associations parties civiles. Il n'y a donc aucun risque de voir publiée dans les grands médias (sic) la moindre réplique. Et dans la société du spectacle et du citoyen télévisionnaire, ce qui n'existe pas dans le monde du spectacle n'existe pas. Pourtant elles existent, ces contestations et ces répliques. Elles ont même été exceptionnellement rapides puisqu'une lettre du professeur Faurisson intitulée "Sur Auschwitz: encore un scoop bidon" datée du 23 septembre 1993, répliquait le jour même de la sortie de L'Express. Elle était suivie d'une deuxième lettre, datée du 30 septembre, intitulée "Libération, Le Monde et le Nouvel Observateur sur Les Crématoires d'Auschwitz, de Jean- Claude Pressac". Par ailleurs, dans le numéro 8 de La gazette du golfe & des banlieues, novembre 93, Serge Thion donnait une recension qui constitue, à mon avis, une réfutation exhaustive du livre, intitulée "Histoire de la nuit ou du brouillard?" Ces lettres et ce bulletin confidentiel, n'étant diffusés que dans un cercle restreint d'amis, ne tombent pas sous le coup de la loi sur la presse mais, du même coup, ils ne risquent pas d'atteindre le grand public pour lequel le livre de Pressac a effectivement toutes les chances de rester "sans réplique", c'est-àdire sans répliques médiatiques. Dans ces conditions, les rodomontades du sieur Bédarida relèvent de l'infamie. Et l'étude du comportement de l'ensemble des "médiatiques" relèvera d'une nouvelle discipline à créer: l'infamologie. <strong>...</strong></p>Séverin Jules - Le monopole universitaireurn:md5:5360b1e6ed256b66a7d120f31c1557272012-03-01T02:18:00+00:002022-01-10T23:00:10+00:00balderSéverin JulesEducationEx-LibrisFranceHébraïsmeMonopole Universitaire <p><img src="https://balderexlibris.com/public/img/.Severin_Jules_-_Le_monopole_universitaire_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Séverin Jules</strong><br />
Ouvrage : <strong> Le monopole universitaire Qu’est-ce que vaut la marchandise au point de vue technique ?</strong><br />
Année : 1905<br />
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Ouvrage précédé d’une lettre d'Édouard Drumont et d’une lettre d’Ernest Renauld. L'école sectaire officielle est l'école du crétinisme. Lettre de M. Édouard Drumont. Mon Cher Séverin, C’est de tout coeur que je vous écris pour souhaiter bon succès à votre livre, puisque vous espérez que ma parole petit avoir quelque poids près de nos amis pour les décider, non seulement à lire, mais à propager et à répandre ces pages pleines de faits, de science et de raison. Parmi tous ceux qui s’obstinent courageusement et noblement à éclairer et à défendre contre lui-même ce pays qui ne veut rien faire pour échapper au sort qui l’attend, vous avez choisi la tâche, non pas la plus brillante, mais la plus utile. D’autres, en d’éloquentes paroles, flétrissent l’infamie des persécutions actuelles et l’ignominie de ces hommes qui, après avoir pendant tant d’années réclamé la liberté pour eux, étranglent avec un si beau cynisme la liberté des autres. Vous vous êtes imposé pour mission de démontrer que le régime franc-maçonnique et juif que nous subissons n’enlève pas seulement aux Français tout sentiment du grand rôle qu’ils ont joué dans le monde, tout idéal, toute foi patriotique, mais encore il atteint ceux qui travaillent, dans leurs intérêts mêmes, dans leur droit à la vie. En des centaines de conférences et de réunions vous avez entretenu les ouvriers de la terre, de la condition lamentable faite à nos agriculteurs qui, victimes des spéculations juives, ne peuvent arriver à trouver la juste rémunération de la peine qu’ils se donnent. Les produits du sol eux-mêmes sont devenus matière à coups de Bourse et prétexte à de scandaleux agiotages. Ceux qui poursuivent le généreux dessein de substituer un ordre de choses meilleur, à l’ordre de choses actuel, une organisation plus morale, plus raisonnable et plus sage, au système maçonnique, juif et protestant dont nous mourons, auraient-ils triomphé d’une façon absolue s’ils avaient marché dans la voie que vous indiquez, s’ils s’étaient préoccupés davantage du côté pratique des questions ? J’avoue que, sous ce rapport, je suis un peu sceptique. La machine administrative que la troisième République a empruntée à l’Empire, en perfectionnant encore les rouages du despotisme, en multipliant les ressorts d’oppression, est si solidement montée qu’elle enlève d l’individu toute possibilité de faire prévaloir sa volonté personnelle. Vous savez, mieux que moi, que les électeurs ont le plus complet mépris pour la plupart des députés qu’ils envoient à la Chambre et qui, au lieu de prendre en mains les intérêts de leurs mandataires, se bornent à aboyer contre de pauvres prêtres dont le paysan connaît la vie de privations et de dévouement... Ces députés qu’ils méprisent, les électeurs les nomment tout de même... Ce qui est certain, mon cher Séverin, c’est que le volume que vous me demandez de présenter au public sera pour beaucoup la lecture instructive, solide, profitable par excellence. Par sa forme précise et concise, exempte de déclamations et de phraséologie, par la variété des sujets qu’il traite, ce livre permettra de se bien rendre compte de la façon dont le virus protestant et juif a empoisonné toutes les sources de l’activité française : le monde du travail agricole, le monde universitaire, le monde de la science, les industries nationales, les grands intérêts vitaux, l’enseignement, la médecine, la littérature, les arts et les moeurs. Cette invasion, que chacun est bien obligé de constater sans en connaître très-exactement l’évolution, le processus et les développements, sera désormais intelligible et compréhensible pour chacun. Quand se produiront les événements qui ne seront que la conséquence logique des erreurs et des sophismes qui se sont substitués à toutes les vérités morales, sociales et économiques sur lesquelles était basée la Société française d’autrefois, les Français ne seront plus surpris. Nous ne verrons plus se produire l’affreux malentendu qui suivit la catastrophe de 1870... Nous ne verrons plus de très-honnêtes gens choisis par la France pour la sauver, organiser eux-mêmes ce régime parlementaire qui nous conduira aux abîmes, si quelque réveil inattendu ne se produit pas dans ce pays. Édouard Drumont. <strong>...</strong></p>