Manning Jeane - Energie libre et technologies


Auteur : Manning Jeane
Ouvrage : Energie libre et technologies
Année : 1996

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Ceci pourrait être un des livres les plus importants que vous ayez jamais lus. Il décrit l’évolution rapide des progrès faits pour rendre utilisable une source d’énergie, dont beaucoup d’entre nous pensent qu’elle va radicalement changer la face du monde. Il s’agit de l’énergie du point zéro, issue des fluctuations quantiques dans le vide de l’espace. Beaucoup de gens l’appellent « énergie de l’espace » ou énergie libre. Certains d’entre nous pensent qu’une révolution se prépare, parce que l’énergie libre qui nous entoure est un immense réservoir d’énergie propre et décentralisée ; ce qui fera que les sources d’énergie actuellement utilisées seront considérées comme des cauchemars préhistoriques qui encombraient nos paysages de déchets et polluaient notre air. Cette révolution pourrait sonner l’heure de la naissance d’un nouveau paradigme dans la science et la technologie, à côté duquel les révolutions coperniciennes et industrielles paraîtront anodines. Ce sera un bouleversement sans précédent d’investir les deux billions $ qui, jusque-là, étaient investis dans des systèmes d’énergie obsolètes, dans d’autres systèmes respectueux de l’environnement, qui ne seront même pas onéreux. Des systèmes électriques, basés sur des dispositifs compacts sans parties mobiles, remplaceront probablement les fusibles et les disjoncteurs dans les maisons et bâtiments. Nous pourrons enfin nous déconnecter du réseau électrique. Les nouveaux distributeurs d’énergie seront aussi portables et les condensateurs, comme les batteries, seront superflus. Ils remplaceront les moteurs à combustion interne dans nos voitures et dans les autres systèmes de transport ou dans l’industrie. Et ils pourront servir à la campagne, pour accroître de manière radicale le rendement des machines agricoles (par exemple, le pompage pour l’irrigation), et, partant, ils contribueront à l’élimination de la famine dans les pays du Tiers Monde. Mais il nous faudra développer une politique du bon usage de ces appareils à énergie, définissant les justes mesures pour des applications finales intelligentes, afin d’éviter tout usage excessif ou leur utilisation en tant qu’arme de guerre. À plus long terme, je pense que nous découvrirons comment l’énergie de l’espace peut aussi être mise en pratique dans des systèmes de propulsion antigravitationnelle. Alors qu’est-ce qui nous empêche de tout mettre en oeuvre pour le faire ? Il semble que depuis l’époque de Nikola Tesla il y a un siècle, nous avons passé l’énergie « libre » sous silence. Nous avons tous développé quelques peurs qui sont bien enracinées, et qui nous empêchent d’avancer – des peurs qui n’ont pas encore atteint la conscience publique. Pourtant, malgré toute la répression, le bon génie de l’énergie est finalement sorti de la bouteille ; c’est ce que nous révèle clairement Jeane Manning dans ce livre. Tout d’abord, je voudrais vous dire ce qui sous-tend mes graves propos. Il y a environ vingt ans, alors que l’OPEP faisait monter les prix du pétrole et qu’une crise de l’énergie éclatait, j’ai commencé à observer comment, nous, dans notre culture, nous abusions de l’énergie. Est-ce que vous vous rappelez les queues aux stations-service au milieu des années 70, les estimations sinistres concernant l’augmentation de la pénurie de pétrole, la pollution de l’air, les marées noires, les guerres du pétrole, la possible fusion du coeur de réacteurs, la contamination par les déchets radioactifs, la prolifération de l’armement nucléaire dans les pays étrangers, sous couvert de production d’énergie (comme en Corée du Nord), et toutes les autres prévisions funestes ? Or, à l’approche de cette fin de millénaire, où en sommes-nous avec cette crise de l’énergie ? Qu’est-ce qu’on a fait du rapport de Rome sur les limitations de la croissance ? Beaucoup d’entre nous se souviennent que, à mesure que les années 70 s’écoulaient, le cartel de l’OPEP a commencé à desserrer sa poigne, les prix du pétrole ont chuté, et Ronald Reagan fut élu Président des États-Unis. Ce fut comme si par quelque décret magique les mass-media et la conscience publique avaient décidé qu’après tout, il n’y avait jamais eu de crise de l’énergie. Le pétrole est revenu en surabondance, et toute idée de la nécessité de développer des alternatives semblait avoir été effacée de la conscience publique. En 1975, j’étais expert-conseil à l’énergie au sous-comité à l’Énergie et à l’Environnement de l’ancien membre du Congrès Morris Udall, au sein du Comité Intérieur de la Chambre des Représentants des États-Unis. J’ai écrit des discours et ai organisé des réunions publiques pour Udall, pendant les huit mois de sa course à la présidence. Je l’ai aidé à développer une politique de l’énergie qui ressemblait fort à celle que le Président Jimmy Carter a commencé à mettre en oeuvre à la fin des années 70 et qui a été poursuivie par l’administration Clinton. Cette politique prend en compte les statistiques sombres pour les décennies à venir, qui veulent que l’énergie sera extrêmement polluante et coûteuse, si nous ne commençons pas à renoncer aux carburants fossiles et à l’énergie nucléaire, en tant que sources principales de production de l’électricité. Nous demandons également des contrôles stricts des émanations. Ces avancées ont été possibles malgré un aveuglement sous-jacent énorme, et malgré la résistance aux solutions novatrices face à la crise mondiale qui continue. Même quelques organisations techniques et politiques de pointe dans le domaine de l’énergie et de l’environnement, tel le Rocky Mountain Institute et l’Union of Concerned Scientists, semblent s’être résignées à des changements lents et modestes – l’utilisation plus large de sources d’énergie traditionnelles et renouvelables (soleil, vent, hydrogène, biomasse et autres) et l’augmentation du rendement des voitures ne sont que des réformes graduelles. À long terme, ni l’approvisionnement limité en combustibles fossiles, ni la toujours plus mauvaise qualité de l’environnement ne pourront plus être ignorés. Les problèmes des années 70 sont devenus de vrais défis pour les années 90. Il y a deux décennies, la perception fugitive du public de l’existence d’un vrai problème lié à l’énergie aida à la création d’un Ministère de l’Énergie (Department of Energy = DoE). Il était censé apporter son soutien à la recherche et au développement de sources alternatives d’énergie. Mais le DoE s’est surtout investi à transvaser du vieux vin bureaucratique dans de nouvelles bouteilles, en conciliant les intérêts personnels des lobbies des combustibles fossiles avec ceux du nucléaire. Et aujourd’hui, il m’est devenu clair que très peu de véritables progrès ont été faits pour faire cesser notre abus de l’énergie et de l’environnement. Plutôt que de nous tourner vers le futur à la manière du projet Manhattan ou Apollo, nous maintenons les droits acquis avec les combustibles fossiles, les moteurs à combustion interne et l’énergie nucléaire, et nous continuons d’amener l’électricité à partir des grandes centrales, à travers un horrible réseau quadrillé qui peut représenter un danger majeur pour la santé (pollution électromagnétique des lignes). Alors, pourquoi n’avons-nous rien entrepris contre tout cela ? Passer à l’énergie libre, propre, permettrait de régler presque entièrement les problèmes de la pollution de l’air, du réchauffement général dû aux émissions de dioxyde de carbone, de la chaleur perdue, des feux écocides de Saddam Hussein, des ciels noirs, des marées noires, des pluies acides, du dioxyde d’azote, de l’anhydride sulfureux, des émissions d’hydrocarbures et d’ozone, des installations hideuses des puits de pétrole et des raffineries, des pétroliers géants, des stations- service, des centrales électriques, des câbles de transmission, et de tout le reste. L’utilisation de l’énergie libre apaiserait aussi notre soif de pétrole et de gaz naturel. Cette soif épuise les précieuses richesses de la terre à un rythme alarmant. Cette veine de ravitaillement, qui s’est constituée pendant des dizaines, voire des centaines de millions d’années à l’intérieur de la croûte terrestre, a été pompée avidement, sans soucis pour nos lendemains. L’extraction et la consommation de pétrole ont plus que triplé depuis le début de la crise de l’énergie. Près de la moitié du pétrole disponible et plus de la moitié du gaz naturel ont déjà été extirpés de nos meilleurs gisements et brûlés presque en l’espace d’une seule génération ! Au rythme actuel de la consommation, les réserves en pétrole des États-Unis suffiront à peine dix ans, et les réserves mondiales, quarante. Même si ces réserves s’avéraient être deux fois plus abondantes que ne le disent les estimations, nous serons à court de pétrole vers la moitié du vingt et unième siècle, et d’ici-là, les prix vont inévitablement monter en flèche. Ces faits ont été ignorés par nos politicards de l’énergie. En fait, nous empruntons la Terre de nos enfants, au lieu d’être les dignes successeurs de nos parents. Un consensus écologique est en train d’émerger : Nous devons arrêter d’agir ainsi et construire un avenir qui entretienne la vie. La conversion à l’énergie de l’espace aurait un impact économique énorme. L’utilisation de l’énergie électrique à travers le monde rapporte aujourd’hui huit cents milliards $ chaque année, soit le double depuis l’époque où, il y a vingt ans, naquit une prise de conscience de la crise énergétique qui presque aussitôt fut repoussée dans l’ombre. Ce chiffre renversant représente plus du double de celui que fait l’industrie automobile, et est comparable à la somme que paient chaque année les contribuables des États-Unis à un gouvernement criblé de dettes. Les infrastructures mondiales de l’énergie, qui sont surtout tributaires de la combustion de pétrole, de gaz naturel et de l’utilisation d’éléments radioactifs, consomment environ deux billions $ chaque année, un chiffre si élevé qu’il est difficile de s’imaginer l’ampleur de notre dépendance à nous tous. Durant le temps qu’il vous faut pour lire cette phrase, le monde brûle pour un million $ de combustibles fossiles et nucléaires pour fournir l’électricité aux appareils, au chauffage, à la réfrigération, et aux moyens de transport. Au début des années 80, alors que j’étudiais les concepts avancés de l’énergie spatiale à la Science Application International Corporation, j’ai bien compris que toute idée radicalement nouvelle dans le domaine de l’énergie aurait beaucoup de mal à s’imposer, car elle se heurterait aux intérêts matériels du gouvernement US et des industries bien établies. La plus grande partie des milliards $ des fonds pour la recherche et le développement du Ministère de l’Énergie, sont toujours investis dans des projets d’extension de l’utilisation des combustibles fossiles et de l’énergie nucléaire. Lorsque j’étais analyste en politique scientifique, j’ai appris que les projets du gouvernement pour la recherche et le développement ne représentaient qu’une infime partie au sein de la grande puissance politique et économique ; les projets d’aujourd’hui seront demain des réalités de multi-milliards $. A partir du moment où un projet dépasse le milliard $, ce projet devient source d’intérêts spécifiques pour des entrepreneurs dans les circonscriptions électorales, et ainsi de suite. Cette règle semble l’emporter quelle que soit la qualité du projet. Le projet en recherche et développement le plus grand et le plus ambitieux du Ministère de l’Énergie est le concept de la – toujours non contrôlable – fusion « chaude », qui a coûté plus d’un milliard $. La fusion chaude entraînerait à la fois l’implantation de grandes centrales et une pollution accrue due à l’excès de chaleur, à la radiation, et au réseau de distribution électrique. Une autre part importante des fonds du Ministère de l’Énergie est consacrée à la physique des hautes énergies et à la recherche pour l’armement, qui ne sont pas en relation directe avec la production de l’énergie. Des sommes beaucoup plus faibles vont au développement de sources solaires et autres sources alternatives, et à la réduction de la consommation énergétique. Rien – pas un seul sou – des fonds publics américains (hormis les budgets noirs dont nous ne savons rien) n’est investi pour la source de l’énergie qui, je crois, va changer notre manière d’appréhender les choses : l’énergie libre qui nous entoure. Un intérêt profondément enraciné est devenu tellement puissant que nous semblons aveugles à tout nouveau concept, et surtout à des concepts aussi radicaux comme « l’énergie libre » et la fusion froide. Nous paraissons plus intéressés à polémiquer de savoir si ces découvertes sont vraies, plutôt qu’à vouloir saisir une occasion en or. Bref, nous semblons nous être enfoncés dans une fausse notion de la sécurité, continuant de créer des infrastructures d’énergie abusives, qui détruisent la Terre et nous-mêmes. Nous nous sommes créé une « prison électrique », et nous sommes de plus en plus coincés dans un réseau malsain de fils invisibles et de stations-essence, dans le bourdonnement incessant des moteurs à combustion interne et autres équipements liés à l’énergie, qui polluent le paysage, les ciels et les océans. Comme la grenouille qui cuit à petit feu dans l’étang où la température monte peu à peu, nous nous sommes petit à petit habitués à notre prison électrique. Coincés dans le réseau, nous avons oublié combien un environnement plus supportable, comme celui d’il n’y a pas plus de vingt ans, pouvait nous être bénéfique. J’habite dans les forêts reculées des Cascades dans l’Oregon, et je peux témoigner de tous les avantages qu’offre un environnement calme et propre. C’est la première fois dans notre histoire que nous avons autant dilapidé nos ressources énergétiques en un si court laps de temps, et la plupart d’entre nous ne l’ont pas réalisé. Nous devons arrêter de maltraiter la Terre si nous voulons survivre. La crédibilité de l’énergie spatiale est déjà avalisée par beaucoup d’informations théoriques et expérimentales. J’ai été surpris de voir combien ces pionniers, qu’ils soient théoriciens, expérimentateurs ou inventeurs dans le domaine de l’énergie libre, ont une connaissance large et profonde, surpris par leur dévouement et leur professionnalisme et par leurs réussites. Ils sont les explorateurs d’une nouvelle réalité. Ils sont mis en marge du courant scientifique majoritaire, car celui-ci renie cette réalité ; mais ce déni est basé sur un raisonnement des plus superficiels. Beaucoup de nos inventeurs et chercheurs en énergie libre ne ressemblent en rien à l’habituelle image stéréotypée de l’inventeur bricoleur excentrique, isolé dans son garage et qui a probablement tout faux. Non, ils sont titulaires d’un doctorat et travaillent dans des institutions traditionnelles, comme Shiuji Inomata aux Laboratoires Électrotechniques à Tsukuba (la « Cité de l’Espace » du Japon). Cela fait trente-cinq ans qu’il y est employé à plein temps par le gouvernement. En Inde, Paramahamsa Tewari occupe un poste prestigieux au gouvernement en tant qu’ingénieur directeur de projet dans la plus grande centrale nucléaire en construction dans ce pays. Ces deux gouvernements ont permis à ces deux hommes de construire leurs appareils à énergie libre (basés sur le concept de Bruce DePalma), – chose qui aurait été impensable dans un laboratoire du Ministère de l’Énergie aux États-Unis. Dernièrement, le Dr Inomata fit une conférence pour des dirigeants du monde politique et industriel (plus de six cents professionnels sont venus à son dernier séminaire), et la Toshiba Corporation a débloqué deux millions $ pour le développement d’aimants supraconducteurs destinés à son nouveau générateur unipolaire. Comme le Japon est quasi totalement dépendant du pétrole étranger pour ses besoins en énergie et en transport, il a peu à perdre et beaucoup à gagner en commercialisant l’énergie libre de l’espace environnant. Ceci pourrait être une nouvelle occasion manquée pour bien des pays, et même conduire le Japon à une autre opportunité de dominer le marché avec des produits issus de leur approche prévoyante. Quand apprendrons-nous jamais la leçon ? Il n’y a que peu d’autres scientifiques qualifiés qui consacrent du temps à étudier et à se familiariser avec l’énergie libre : la plupart des détracteurs bruyants n’ont que faire de ces recherches. Ils sont coincés entre la pression exercée par leurs collègues et la pression financière, et limités par leur parti pris de ne pas explorer ce qui ne relève pas de leur spécialité. Je sais ce que je dis : j’en étais ! Les sceptiques font l’erreur très répandue de croire que si ces machines existaient vraiment, ils en auraient entendu parler. L’histoire de la Science est remplie d’histoires d’exemples de leaders scientifiques qui – pour des raisons parfois purement émotionnelles – se moquent des nouvelles idées à cause de cette supposition. Ultérieurement, il s’avère qu’ils se sont trompés. Bien sûr, tout ceci n’a absolument rien à voir avec la science et la rationalité, mais cela signifie que le syndrome du rejet commence chez les scientifiques eux-mêmes. Les représentants du gouvernement et des médias s’adressent aux scientifiques pour leur information, et de ce fait, eux aussi ignorent l’essentiel. Par exemple, un journaliste du Washington Post a interviewé plusieurs d’entre nous sur le thème de l’énergie de l’espace (ou énergie libre), lors d’un symposium sur les Nouvelles Énergies. À la place des informations très approfondies que nous avions données au journaliste, la seule chose qui ait été publiée fut une biographie de Nikola Tesla légère et sans engagement. Il semble que ce soit d’emblée que ces porte-parole de l’establishment décident de ce qui peut être crédible – ce qui n’a rien à voir avec la vérité. Un seul coup de fil d’un journaliste reconnu à un ponte du traditionalisme comme Carl Sagan, par exemple, peut étouffer un article. Malheureusement, même nos sources d’informations, les plus vénérables n’ont pas le pouvoir de dire la vérité, et c’est pourquoi la science progresse si lentement. Alors pourquoi n’avons-nous pas adopté l’énergie libre bien que nous la connaissions depuis si longtemps ? Pourquoi avoir mené des guerres du pétrole – dans le Golfe, en Somalie et même au Viêt-nam ? Pourquoi avoir mal employé un nombre infini de billions $ et sacrifié des vies humaines et notre environnement, et pourquoi continuer à agir de la sorte, alors que, de toute évidence, nous pouvons cesser nos activités autodestructrices ? Comment se fait-il que tous ces décideurs aient réussi à nous isoler complètement de l’énergie libre et qu’il n’y ait toujours aucune machine sur le marché ? Après tout, la technologie nécessaire à sa construction n’est probablement pas bien loin de notre portée. Ce projet est vraisemblablement beaucoup moins provocateur sur les plans technique et financier que ne le furent les projet Manhattan quand les scientifiques développèrent la bombe atomique, ou le programme Apollo quand il s’agissait pour les scientifiques et les ingénieurs d’envoyer des gens sur la lune, ou que ne l’est le projet Tokamak sur la fusion chaude à Princeton, qui est toujours très loin du seuil de rentabilité. Des inventeurs ont apparemment montré des résultats avec l’énergie libre en dépensant seulement quelques milliers $ – au lieu des milliards et des billions dépensés à perpétuer des méthodes plus traditionnelles. Pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps pour que l’argent coule dans des directions sensées ? En d’autres termes, comment fut-il possible de réprimer les technologies de l’énergie libre de manière aussi radicale et aussi hermétique pendant si longtemps ? Si nos gouvernements et nos scientifiques ignorent l’évidence, pourquoi les forces du marché n’en ont-elles pas eu vent et fait avancer activement les choses ? Il semble que chacun attende que l’autre fasse le premier pas. Je suis arrivé à une conclusion que je croyais précédemment invraisemblable : le Syndrome de la Répression s’infiltre dans chaque aspect de tout nouveau développement révolutionnaire. Habituellement, plus un projet est radical, plus les forces de répression sont fortes. Par exemple, la plupart des inventeurs ont des difficultés financières ou ont été payés pour qu’ils gardent leurs secrets de fabrique sous le manteau. Partant, ils sont coupés du partage des connaissances au sein des équipes interdisciplinaires qui, elles, deviendront nécessaires, je crois, au développement de cette nouvelle industrie. À mon avis, il nous faudra un financement modéré de peut-être quelques dizaines de milliers $ afin de pouvoir réaliser les percées nécessaires. ...

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