De Vries De Heekelingen Herman - L'Orgueil juif


Auteur : De Vries De Heekelingen Herman
Ouvrage : L'Orgueil juif
Année : 1938

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Aperçu général. L’orgueil est un sentiment propre à la nature humaine, par conséquent indépendant du facteur-race. Sous toutes les latitudes, nous trouvons des individus orgueilleux et d’autres qui ne le sont pas. L’orgueil constitue une manifestation d’ordre psychologique et non d’ordre physiologique ; les nègres ne sont ni plus ni moins orgueilleux que les jaunes ou les blancs. Pourquoi donc existerait-il un orgueil spécifiquement juif, un orgueil particulier à la race juive ? Pourquoi ne ferait-on pas une distinction entre des Juifs orgueilleux et d’autres Juifs qui ne le sont pas, comme on le fait pour d’autres races ? Les circonstances historiques, le genre de vie, l’organisation sociale peuvent favoriser ou contrecarrer le développement de l’orgueil de tout un peuple. Les persécutions que les Juifs ont endurées au cours des siècles, autant que la vie de ghetto, la solidarité due au fait que, partout les Juifs ont constitué une minorité, tout cela a développé leur orgueil initial, dont nous trouvons des traces dès leur entrée dans l’histoire. Cet orgueil est devenu à tel point inhérent à la race juive, qu’on peut parler d’un orgueil typiquement juif. L’orgueil donne à l’orgueilleux une opinion trop avantageuse de lui-même et lui cache ses défauts ; il le rend susceptible à la moindre critique et, comme tout individu offre des côtés critiquables, il est constamment froissé ou irrité. L’orgueil peut aussi être un consolateur (généralement un mauvais consolateur) contre de mauvais traitements mérités ou immérités ; dans ce cas, l’orgueilleux s’enferme dans sa tour d’ivoire, séparé du reste des humains par son « complexe de supériorité ». Toutes ces caractéristiques de l’orgueil se retrouvent chez les Juifs. Le Juif a une opinion fort avantageuse de lui-même, parce qu’il s’est toujours considéré comme membre du peuple élu et qu’il a attribué cette élection à sa race. IL se croyait élu parce qu’il descendait d’Abraham, il éprouvait un orgueil infini par le fait du sang qui coulait dans ses veines. L’orgueil lui cache ses défauts, parce qu’il croit accomplir tout son devoir lorsqu’il obéit aux deux cent quarante-huit commandements et aux trois cent soixante-cinq prohibitions du Talmud. Un exemple frappant, qui montre le degré auquel peut atteindre ce sentiment de perfection est la lettre que Salomon Rothschild écrivait à Metternich lors du décès de son frère Nathan : « Mon frère a conservé, écrivait-il, toute sa lucidité jusqu’à la mort. Dix minutes avant la fin, comme on exécutait les cérémonies dont nous avons l’habitude, il disait : « Inutile de tant prier, car, croyez-moi, j’ai la conviction de n’avoir pas péché ». L’orgueil rend le Juif chatouilleux, il ne tolère pas la moindre critique. Rien de plus naturel : puisqu’il se croit supérieur à son entourage, toute critique le met hors de lui. Il a une manière à lui de combattre ceux qui osent le critiquer : il tâche de faire passer ses adversaires pour des gens sans importance ou sans savoir. S’il est incapable de répondre sur le fond, il se contente d’une contradiction pure et simple, sans aucune preuve à l’appui. Dans la discussion, il est souvent d’une suffisance incroyable. Quelques jours avant la chute de son ministère, lors d’une discussion au Sénat, M. Léon Blum s’écriait : « Qui se permet de ricaner quand je parle ? » L’orgueil peut aussi faire fonction de consolateur. Du moment que le Juif croit dur comme fer qu’il a une tâche à remplir ici-bas, l’opinion du monde n’a plus aucune importance pour lui. « Nous n’avons pas à nous occuper de l’opinion du monde qui nous entoure, dit M. Joseph Kastein, ni de la catégorie dans laquelle il faut classer sa façon de penser. Il suffit simplement que le Juif conserve, en lui-même, la certitude qu’il a créé pour tous les peuples des valeurs culturelles absolument prodigieuses. » Cette certitude a pour conséquence que le Juif bondit dès qu’un goy se permet de douter de sa supériorité. Il s’irrite alors profondément et devient haineux. Deux siècles avant notre ère, le grand-prêtre hellénisant Ménélaüs, accusait, la loi juive « d’enseigner la haine du genre humain, de défendre de s’asseoir à la table des étrangers et de leur marquer de la bienveillance ». Inutile d’ajouter que Ménélaüs ne jouit pas d’une bonne renommée parmi les Juifs, mais il se rencontre avec saint Paul qui, deux siècles plus tard, dans son Epitre aux Thessaloniciens, a dit aussi d’eux : Et omnibus hominibus adversantur. Il n’est donc pas, étonnant que, même dans la Rome ancienne, si tolérante pour toutes les religions, les Juifs furent profondément haïs et qu’on promulgua pour eux des lois d’exception. Il en a été ainsi partout et toujours. Les Juifs sincères l’avouent eux-mêmes. « Le Juif provoque, dit M. Kadmi-Cohen, la répulsion ou la crainte ou la haine ou le mépris universel, tantôt plus, tantôt moins. Ce phénomène psychologique ne peut s’expliquer que par le sentiment de tout être sain en présence de quelque chose d’informe, de maladif, d’incomplet. » Bernard Lazare se demande pourquoi l’hostilité à l’égard des Juifs s’est manifestée partout : « Si cette hostilité, cette répugnance même, ne s’étaient exercées vis-à-vis des Juifs qu’en un temps et en un pays, il serait facile de démêler les causes restreintes de ces colères, mais cette race a été, au contraire, en butte à la haine de tous les peuples au milieu desquels elle s’est établie. Il faut donc, puisque les ennemis des Juifs appartenaient aux races les plus diverses, qu’ils vivaient dans des contrées fort éloignées les unes des autres, qu’ils étaient régis par des lois différentes, gouvernés par des principes opposés, qu’ils n’avaient ni les mêmes moeurs ni les mêmes coutumes, qu’ils étaient animés d’esprits dissemblables ne leur permettant pas de juger également de toutes choses, il faut donc que les causes générales de l’antisémitisme aient toujours résidé en Israël même « et non chez ceux qui les combattirent ». « La question juive, dit Théodore Herzl, existe partout où les Juifs vivent en nombre tant soit peu considérable. Là où elle n’existait pas, elle est importée par les immigrants juifs. Nous allons naturellement là où l’on ne nous persécute pas, et là encore la persécution est la conséquence de notre apparition. Cela est vrai et demeurera vrai partout, même dans les pays de civilisation avancée — la France en est la preuve — aussi longtemps que la question juive ne sera pas résolue politiquement. Les Juifs pauvres apportent maintenant avec eux l’antisémitisme en Angleterre, après l’avoir apporté en Amérique. » Parmi les populations, dit le même auteur, l’antisémitisme grandit de jour en jour, d’heure en heure, et doit continuer à grandir parce que les causes continuent à exister et ne sauraient être supprimées ». Ces causes étaient multiples chez les chrétiens, les mahométans et les païens, depuis l’antiquité jusqu’à nos jours. Religieuses et économiques à certaines époques, nationalistes et raciales à d’autres moments, elles culminaient toujours dans le sentiment d’héberger des fractions d’un autre peuple dont l’orgueil et l’intransigeance les empêchent de s’assimiler à leur entourage. Se considérant comme infiniment supérieurs, les Juifs refusaient dès le commencement de leurs pérégrinations, de se mêler aux autochtones. « Peuple énergique, vivace, dit encore Bernard Lazare, d’un orgueil infini, se considérant comme supérieur aux autres nations, le peuple juif voulut être une puissance. Il avait instinctivement le goût de la domination puisque, par ses origines, par sa religion, par la qualité de race élue qu’il s’était de tout temps attribuée, il se croyait placé au-dessus « de tous. » Même détachés des antiques traditions de leur culte, dit Mlle Marguerite Aron, ils conservent, obscurément, au plus profond d’eux-mêmes, la conscience d’avoir été choisis « pour être les dépositaires de l’absolue vérité. Ils n’accordent pas volontiers qu’ils peuvent se tromper dans leurs opinions morales, et, quand il s’agit de reconnaître chez un autre une opinion contraire et de la respecter, le sens de la justice, pourtant si fort en eux, est supplanté par l’indignation et la colère ». Orgueil infini, goût de la domination ; irritabilité dès que quelqu’un émet une opinion qu’ils ne partagent pas, ce sont exactement les traits de caractère que nous venons d’attribuer aux Juifs. Ce ne sont pas des traits qui font aimer un peuple que l’on a accueilli chez soi, bien au contraire, ce sont les sources de l’antisémitisme universel. « Devant l’unanimité des manifestations antisémitiques, il est difficile d’admettre, comme on a été trop porté à le faire, qu’elles furent simplement dues à une guerre de religion ; et il ne faudrait pas voir dans les luttes contre les Juifs la lutte du polythéisme contre le monothéisme et la lutte de la Trinité contre Jéhovah. Les peuples polythéistes, comme les peuples chrétiens, ont combattu, non pas la doctrine du Dieu Un, mais le Juif. « Quelles vertus ou quel vices valurent au Juif cette universelle inimitié ? Pourquoi fut-il tour à tour, et également, maltraité et haï, par les Alexandrins et par les Romains, par les Persans et par les Arabes, par les Turcs et par les Nations chrétiennes ? Parce que partout, et jusqu’à nos jours, le Juif fut un être insociable ». Bernard Lazare se demande ensuite pourquoi le Juif est insociable et il répond : « Parce qu’il est exclusif ». Nous pourrions continuer en demandant : Pourquoi est-il exclusif ? et à nous de répondre : « Parce qu’il a toujours été et qu’il est encore orgueilleux ». « Pendant toute la durée de la diaspora, explique Achad Haam, nos pères avaient la coutume de remercier Dieu de les avoir fait naître Juifs ... Tous admettaient comme un axiome qui ne se discutait pas que l’échelle de la création avait des degrés ; les minéraux, les plantes, les animaux, les hommes et enfin, tout en haut, les Juifs ». Cet aveu d’un orgueil stupide et incommensurable ne date pas du Moyen Age ou de l’Antiquité, il n’est pas la suite de mauvais traitements ou d’une situation misérable. Son auteur, Achad Haam, pseudonyme d’Ascher Ginzberg, est mort en 1927. Il fit ses études à Berlin, à Vienne et à Bruxelles. D’après The Jewish Encyclopedia, il était dès sa jeunesse un connaisseur si éminent du Talmud que les rabbins de son entourage le consultaient. Nous verrons tout à l’heure que cela explique bien des choses. Auparavant nous constaterons qu’Achad Haam n’est pas le seul de nos contemporains à placer le Juif au sommet de l’échelle de la création. Théodore Herzl, le créateur du sionisme, écrivait le 18 août 1902 à Lord Rothschild : « Notre race est en toutes choses plus capable que la plupart des autres peuples ; c’est la cause de leur haine ». M. Samuel Roth reprend la même pensée, mais il précise davantage : « L’Europe n’a pas seulement une façon juive de penser, mais tout ce qu’elle entreprend est déterminé par des personnalités juives ... Il n’y a pas de programme, de sentiment ou de conviction qu’un Européen puisse adopter sans suivre un Juif, que ce soit un Bergson, un Marx ou un Freud ». « Les Juifs sont une rosée divine au milieu des peuples », dit à son tour M. Jacob Klatzkin, personnage important du monde juif actuel. Cette « rosée divine » a pour mission de devenir une « lumière parmi le nations ». Et ainsi de suite. D’où vient cet orgueil peu commun ? Comment expliquer que, de nos jours encore, des Juifs connus soient en proie à une fatuité aussi extraordinaire ? Cet orgueil a toujours existé. On en trouve des traces multiples dans l’Ancien Testament. On nous objectera que l’Ancien Testament fait partie des écrits qui sont à la base du christianisme. Il faut s’entendre et ne pas chercher dans l’Ancien Testament ce qui ne s’y trouve pas. Ce sont des Juifs qui l’ont écrit et le contenu n’exprime pas toujours des sentiments chrétiens, puisque ceux-ci relèvent du christianisme, couronnement de la révélation divine, réalisée par le Christ et ses apôtres. Couronnement que les Juifs ont rejeté pour s’enfoncer dans les erreurs, codifiées dans le Talmud. Voici quelques extraits du Talmud : « L’homme fut créé uniquement pour vous apprendre que si quelqu’un détruit une seule âme juive, cela lui sera imputé à faute, comme s’il avait détruit le monde entier, et si quelqu’un sauve une seule âme juive, cela lui sera compté comme s’il avait sauvé le monde entier ». « Partout où ils (les Juifs) se rendent, ils deviennent les princes de leurs maîtres ». « Tous les Juifs sont des enfants de roi ». « B. Hanina disait : un non-juif qui frappe un Juif mérite la mort ... B. Hanina disait ensuite : Qui donne un soufflet à un Juif est coupable comme s’il souffletait Dieu ». Et voici la contre partie : « Si (quelqu’un tue) intentionnellement, il est évident qu’il doit être exécuté. » Raba répondit excepté le cas où il avait l’intention de tuer une bête et qu’il a tué un homme, ou qu’il avait l’intention de tuer un non-juif, et qu’il a tué un Juif ». « Vous (Juifs) êtes appelés des hommes, les peuples du monde ne sont pas appelés des hommes (mais des bêtes) ». C’est tout à fait charmant. Les non-juifs sont à tel point impudiques que l’on ne sait jamais qui est leur père et si on le sait, par hasard, il vaut mieux ne pas s’en souvenir. D’ailleurs, leur ardeur lubrique est comme celle d’un étalon. Ceci pour ce qui concerne les hommes. Quant aux femmes : « Tout homme, excepté un mineur, qui commet un adultère avec la femme d’un autre homme, excepté la femme d’un mineur, avec la femme de son prochain, excepté la femme d’un non-juif, devra être tué ». C’est la conséquence du mépris de tout ce qui est non-juif : l’adultère d’un Juif avec une Juive est puni de mort, mais l’adultère avec une non-juive ne porte pas à conséquence. Puisqu’ils sont si pervertis, tout est permis aux non-juifs. « Un non-juif peut avoir des rapports avec sa fille ? Mais alors pourquoi Adam n’a-t-il pas pris sa fille ? (Il ne l’a pas prise) afin de permettre à Caïn de prendre sa soeur ». Et que l’on ne dise pas que tout cela est périmé et qu’à notre époque les Juifs ne font plus ces distinctions entre Juifs et non-juifs. On n’a qu’à lire attentivement la littérature juive pour se rendre compte que leur présomption est restée toujours la même. Voici un exemple entre plusieurs. Schalom Asch est un romancier qui, selon le Jüdisches Lexikon peint la vie juive d’une façon simple et d’après nature. Dans son roman, Le soldat juif, il fait écrire par un père juif à son fils : « Et si tu es en garnison dans une ville, cherche-toi une honnête fille de famille. Fréquente ses parents, parle de mariage. Ainsi tu auras ton ordinaire assuré, la fille lavera ton linge. Mais, mon gars, ne la rends pas malheureuse ... c’est une fille juive ... ». Dans une autre nouvelle, le même auteur fait encore comprendre qu’une jeune fille juive est sacrée, parce que juive. La scène se joue dans la chambre à coucher de Salomon. Il tend la main à la jeune fille qui a préparé son lit. Elle ferme les yeux et se laisse choir dans ses bras ... Tout à coup, Salomon revient à lui et se dit : Une jeune fille juive est égale à une fille de roi, et quittant la chambre, il lui dit : « Non, Rachel, tu dois te marier ». Le père conseillait à son fils de ne pas abuser de la jeune fille juive qui laverait son linge, parce qu’elle était juive, et Salomon repoussait la tentation parce qu’une jeune fille juive est égale à une fille de roi ! C’est exactement le même esprit qui amenait le Talmud à faire la distinction entre une Juive et une non-juive. Il est impossible d’extirper de l’âme juive l’influence talmudique millénaire. Ses principes sont entrés dans le sang des Juifs. Leur orgueil est devenu la pierre angulaire de leur système de défense. Un correspondant juif occasionnel de la Juste Parole, revue judéophilissime, en s’adressant à un député qui avait osé rappeler le danger juif, le menace : « Mais prenez garde : tout ne finit pas ici-bas. Vous aurez des comptes à rendre un jour. Nous sommes le « Peuple spirituel » de Dieu et celui qui nous touche, touche à la prunelle de ses yeux ». Même chez certains Juifs convertis, l’idée persiste que tout se fait en fonction des Juifs. M. René Schwob écrit qu’au point de vue surnaturel l’histoire du monde est celle des Juifs. « Si bien que rien n’importe davantage que leur conversion, ou plus exactement leur retour à l’invisible vivant. Le jour où ils seront rentrés en possession de leur héritage, le monde n’aura plus de raison de subsister ». C’est une preuve indéniable que l’orgueil s’est emparé si profondément de l’âme juive que, même un homme comme M. René Schwob, de religion catholique, et qui considère tout uniquement sur le plan spirituel, en arrive à la conclusion que le monde n’a plus aucune raison de subsister lorsque les Juifs seront sauvés. L’idée de ce qui arrivera aux autres âmes ne lui vient même pas à l’esprit. Si l’empreinte juive a encore une telle force sur un Juif sincèrement converti, que doivent penser les Juifs de religion juive ? Le Juif se sent supérieur à son entourage non-juif ; il a un profond dédain pour tous ceux qui n’appartiennent pas à sa race. Il considère comme ennemis tous les peuples de la terre, il complote éternellement contre eux. Aussi longtemps qu’il se sent inférieur en force, il dissimule, on le voit paraître encadré de pasteurs ou de prêtres, prêts à défendre sa cause, il envoie des adresses aux Papes, il se fait distinguer comme soutien du trône, il se signale par sa charité. Mais, dès qu’il se sent en force, dès qu’un des siens est, par exemple, Président du Conseil, il se souvient de sa supériorité imaginaire ; dans un pays où sur 10.000 habitants il n’y a que cinquante Juifs, il fait occuper environ la moitié des sièges du gouvernement par ses frères de race. « Dans des moments de déséquilibre historique, dit M. Hans Rosenfeld, les Juifs n’apparaissent pas aux yeux du peuple menacé comme un modèle enviable d’heureuse synthèse, mais bien au contraire comme un objet d’horreur et de haine, parce que son légitime instinct de conservation se cabre contre leur individualisme démesuré et sans entraves ». Ils sont dangereux ces idéalistes orgueilleux qui prétendent remplacer les formes sociales, basées sur des traditions séculaires, par des chimères internationalistes qui aboutiront à un régime où Israël deviendra, selon les Archives israélites, « le lien des peuples ». « Le Seigneur a dit : « vous serez un royaume de Cohenin » ; et c’est afin que nous le devenions que Juda a dû être dispersé parmi les nations. Ce n’est pas en nous attachant au sol que nous remplirons notre destination ; c’est l’industrie, l’esprit de commerce et d’entreprise qui nous pousse à quitter le sol natal (trop souvent par les persécutions) et à devenir le lien des peuples ». Déjà Flavius Josèphe, l’historien juif de l’époque de la destruction du temple, disait hardiment : « que nuls autres ne peuvent donner de si bons préceptes que nous » et les juifs du ghetto s’imaginaient que tout existait à cause des Juifs : Dieu créa le monde uniquement à cause des Juifs et de la Tora. S’il n’y avait eu de Juifs, il n’y aurait pas eu de monde, Dieu n’existe que pour Israël, il n’existe pas pour les païens. Dans le ciel, il y a des synagogues où Dieu est assis en compagnie des grands rabbins pour discuter la Halacha (la partie juridique et casuistique du Talmud) ... Puisque Dieu est un Juif pieux et exclusif, il ne peut rien avoir de commun avec un païen. Du fait que celui-ci a rejeté la Tora, il est physiquement impur et bestial. Israël est le froment, les païens ne sont que paille et immondices ». Un auteur juif contemporain constate qu’au « moment où eut lieu la dispersion, le peuple juif avait atteint une si grande maturité historique que, psychologiquement, il lui était difficile de se mélanger avec des éléments ethniques qui ne lui étaient apparentés ni par leur nature ni par leur conception du monde. Son caractère était formé et ne se laissait plus modifier. Ainsi s’assimile mal celui qui émigre sur ses vieux jours. D’autre part, le peuple juif, orgueilleux, se considérait comme élu. En proie au « complexe de supériorité », il regardait de haut le monde païen. » C’est tout à fait exact, un non-juif ne saurait mieux dire. Leur « complexe de supériorité » les fait regarder de haut les misérables goim qui, d’ailleurs, n’ont été créés qu’à cause des Juifs. Ces déclarations d’une intolérance et d’un orgueil insupportables ne datent pas seulement de l’époque du Talmud. Nos contemporains émancipés et « assimilés » estiment encore maintenant que ceux qui n’appartiennent pas au peuple élu ne sont que des goim qui ne peuvent avoir un idéal aussi élevé que celui des Juifs. Le rabbin Moïse Gaster disait au IIIème Congrès sioniste à Bâle, d’après le protocole sténographique : « Nous avons toujours devant les yeux un grand idéal qui ne peut être comparé à celui des autres peuples. Nous poursuivons la réalisation de cet idéal depuis des siècles ... Nos aspirations et notre idéal ne sont pas ceux du monde entier ; c’est la raison qui nous rend différents et, je le proclame solennellement, très supérieurs à toutes les nations du monde, car aucune nation ne peut se comparer à nous ... Cette idée que rien au monde ne peut être comparé au Juif, a tellement imprégné son esprit, que le Juif dit souvent les plus grandes énormités, sans s’en rendre compte. Prenons-en quelques-unes dans divers domaines. Jassuda Bédarride, bâtonnier de l’ordre des Avocats à la Cour de Montpellier, raconte avec le plus grand sérieux qu’il fallait aux chrétiens une longue expérience pour les décider à accepter les bienfaits que leur offraient les Juifs. « Plusieurs siècles devaient s’écouler avant que la raison pût remporter cette victoire sur le préjugé, et lorsque les Juifs se disposaient à enrichir la France et l’Italie du tribut de leur savoir, le fanatisme du Moyen-Age devait leur en marquer sa reconnaissance par les plus violentes persécutions. » Jusqu’ici tous les historiens ont admis que les moines avaient été les premiers à cultiver les sciences et à les enseigner en Europe, mais le bâtonnier juif de Montpellier nous apprend que ce furent les Juifs. Quant au Moyen-Age, le même auteur nous enseigne que les Juifs « avaient attaché leur nom à tout ce qui s’était fait de grand et d’utile dans le Moyen-âge ». Lorsque Théodore Herzl se demandait où l’on pourrait installer son Etat juif, il constatait, que, l’effervescence régnant en Turquie, les grandes puissances pourraient être amenées à partager ce pays, ce qui enlèverait aux Juifs la possibilité de s’établir en Palestine. Et Herzl d’écrire dans ses mémoires : « Nous pourrions alors, peut-être, obtenir du Congrès européen un pays neutre, comme la Belgique ou la Suisse ». Ni plus ni moins ! Que vaut l’héritage d’un misérable Suisse ou d’un pauvre Belge en face des désirs d’un Juif, membre du peuple-roi ! Maintenant que les Juifs nous ont dotés de la fameuse Société des Nations, ce sera elle peut-être qui, par sa paix collective, nous amènera la guerre, et, dans l’esprit des Juifs, leur procurera non seulement la Suisse ou la Belgique, mais le monde entier. Il y a dans la littérature des exemples tout aussi savoureux. Israël Zangwill, dans une de ses nouvelles, The Master of the Name, fait entrer dans l’humble cabane d’un Juif de Pologne une princesse égarée à la chasse. L’enfant du Juif ne pouvait détourner ses yeux admiratifs de la belle princesse et de ses superbes vêtements. « Qu’elle est belle », dit-il enfin. Sur quoi, son père murmure gentiment : « Petit idiot, little fool, dans l’autre monde, la princesse allumera le fourneau pour nous ». En poésie, il en est de même : « J’ai entendu ta voix « Dieu châtié « Dieu cloué « Triste Dieu en agonie. « J’ai péché contre mon peuple « Mon peuple d’intelligents « Mon peuple d’orgueilleux. « Car j’ai dit « Heureux les pauvres en esprit. « J’ai péché contre mon peuple « Mon peuple de vengeurs « Mon peuple de haineux « Mon peuple de justes. « Car j’ai dit « Ne résistez pas au méchant. « Je t’ai entendu « Je t’ai entendu « Juif coupable « Grand Juif en larmes ». En effet, Notre-Seigneur, doux et humble de coeur, quel contraste avec le Juif impitoyable et orgueilleux ! Même dans la peinture juive on rencontre des manifestations de leur orgueil. Un tableau de Moritz Oppenheim, intitulé Der Dorfgeher, représente un Juif sortant de sa maison avec son enfant. Pour bien marquer qu’il s’agit d’un Juif, le peintre lui fait toucher la Mesusa (petite boîte allongée, contenant quelques textes de la Tora, que les Juifs fixent au montant de leur porte d’entrée). Pendant que le père touche la Mesusa, le petit Juif donne une aumône à un petit mendiant, très blond d’un type aryen prononcé, qui se tient humblement devant le jeune Juif. En ce qui concerne la musique, Disraeli écrivait « presque chaque grand compositeur ou musicien habile, presque chaque voix qui ravit par ses délicieux accents provient de notre race ». Leur superbe ne se borne pas à la musique, « dans chaque pays de l’Europe les Juifs sont, d’après Zangwill, au premier rang parmi les coryphées de tous les arts. » Certes, il y a des Juifs clairvoyants qui se rendent compte de l’absurdité de leur orgueil, mais ce sont des exceptions. « Le monde environnant, dit M. Joseph Kastein, n’a aucun besoin de nous. Il importe en présence de l’orgueil juif que cela soit dit une bonne fois avec toute la netteté désirable. Certes, il serait malaisé de se représenter le visage spirituel du monde en en retranchant l’existence de l’esprit juif, et il est tout aussi vrai que le monde est prêt à accepter du Juif tout ce qu’il peut offrir en fait de prestations et d’accomplissements techniques, spirituels et matériels ; mais, considéré sous son angle particulier du point de vue de ses propres besoins et de ses intérêts immédiats et réels, il n’a que faire du judaïsme, il ne veut point du judaïsme, ce judaïsme l’importune et il le hait. Il n’y a pas de peuple pour accepter volontiers le Juif. Et tout peuple qui l’accepte cède seulement à des considérations morales, politiques ou économiques. » Si cette conception pouvait se généraliser, il y aurait espoir d’arriver à une solution de la question juive, mais il en est, hélas, tout autrement. En général, on constate que tout homme qui ne chante pas la louange d’Israël est déclaré antisémite, et, par conséquent, insupportable et exaspérant. « Il faut donc que la liberté de l’opinion soit restreinte en ce qui concerne cette calomnie (antisémite), que la liberté du commerce soit limitée, en ce qui concerne la vente de ce poison par la presse et la librairie ... Il faut que les grands Etats libres suppriment cette littérature en chargeant le ministère public de poursuivre pour calomnie leurs auteurs avec ou sans plainte des organismes représentatifs des Juifs et des Israélites. Il faut que les grands Etats libres, assemblés autour de la table verte des conférences internationales, sachent obliger les petits Etats à en faire autant ». Afin que le Juif puisse remplir « son rôle historique, rôle conforme à la volonté de la Providence ... (de) servir à notre époque bouleversée de phare dans la nuit des temps ». A nous, pauvres goim, le rôle du silence, toute critique du peuple-phare sera considérée par l’orgueil juif comme un crime de lèse-majesté. ...

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